Citations sur hist. ii 5

Le détail serait la matière d'un plus long discours

Le royaume passa des mains des Asmonéens à celles d'Hérode

Ils s'acquirent d'abord un grand crédit par la pureté de leur doctrine et par l'observance exacte de la loi ; joint que leur conduite était douce, quoique régulière, et qu'ils vivaient entre eux en grande union

Ils [les Juifs] célébrèrent des jeux comme les gentils

Leur fidélité fut inviolable

Instruits par leurs prophètes à obéir aux rois à qui Dieu les avait soumis, leur fidélité [des Juifs] fut inviolable

Pouvait-on garder le respect qui est dû aux choses divines, au milieu des impertinences que contenaient les fables, dont la représentation ou le souvenir faisaient une si grande partie du culte divin ?

Le peuple souffrait cet état avec impatience

Hircan et Aristobule eurent guerre pour le sacerdoce

Il [Platon] proteste de n'en jamais parler [de Dieu] qu'en énigme, de peur d'exposer une si grande vérité à la moquerie

Enflés d'une si belle origine, ils se croyaient saints par nature et non par grâce

Il énerve l'autorité du conseil

Ce grand Dieu n'avait de culte qu'en Jérusalem

[Antiochus] exerce des cruautés inouïes : son orgueil l'emporte aux derniers excès

Sous prétexte de rendre conformes les moeurs de ses sujets, et en effet pour assouvir son avarice en pillant toute la Judée

Cette nouveauté éblouit les yeux du peuple

Ils ont désespéré de pouvoir vaincre l'erreur publique

Les Juifs, qui étaient les dépositaires de la religion

Il s'en défendit comme d'un crime

Ils regardèrent les gentils avec un insupportable dédain

Ils vivaient sous la foi des anciennes prophéties qu'ils avaient vues s'accomplir si précisément à leurs yeux en tant de chefs

Hérode brouille toutes choses

Il vomit des blasphèmes contre le Très Haut