Citations sur henr. vi

Du profond d'une nue, Un fantôme éclatant se présente à sa vue [de Henri IV]

....bravant tous ces dieux de métal ou de plâtre

Ces faubourgs aujourd'hui si pompeux et si grands, D'une immense cité superbes avenues

Soudain Potier se lève et demande audience [à être écouté]

Il y a asyndète dans ces vers : Français, Anglais, Lorrains, que la fureur rassemble, Avançaient, combattaient, frappaient, mouraient ensemble

C'était du grand Henri la redoutable armée.... lasse du repos et de sang affamée

S'il mourut par un crime, un crime l'a vengé

Sourd au bruit des canons, calme au sein de l'horreur, D'un oeil ferme et stoïque il [Duplessis-Mornay] regarde la guerre Comme un fléau du ciel, affreux, mais nécessaire

On saisit, on reprend par un contraire effort Ce rempart teint de sang, théâtre de la mort

Ils croyaient qu'un monarque unirait leurs desseins.... Et qu'enfin, quel qu'il soit, le Français veut un maître

Quand la mort sur le trône étend ses rudes coups

Il [le soleil] dispense les jours, les saisons et les ans à des mondes divers autour de lui flottants

Qu'on érige à Paris ce puissant tribunal [l'inquisition], Ce monument affreux du pouvoir monacal

.... Ce chemin terrible Qu'un glacis teint de sang rendait inaccessible

Avec plus d'art encore et plus de barbarie, Dans des antres profonds on a su renfermer Des foudres souterrains tout prêts à s'allumer

Ces faubourgs aujourd'hui si pompeux et si grands, Que la main de la paix tient ouverts en tous temps, D'une immense cité superbes avenues, Où nos palais dorés se perdent dans les nues, Étaient de longs hameaux de remparts entourés, Par un fossé profond de Paris séparés

Des noirs torrents de soufre épandus dans les airs

Essex monte à la brèche où combattait d'Aumale

On entendait gronder ces bombes effroyables