Citations sur dores

Que font ces nains si bien parés Sur des trônes à clous dorés ?

La queue est de la même couleur, mais d'une teinte plus foncée, et jette des reflets dorés d'un très bel effet

L'âme à cet âge n'a plus la force de se suspendre aux illusions, fils dorés que du haut du ciel l'espérance jette à la jeunesse

....par des fers dorés se laissent entraîner

Dès le premier rang je ne vis que des croquans, qui portoyent morions dorés d'or de feuille

Un lorain [courroie garnie de soie] semé de boutons dorés et de camahieus

Une très belle Bible, à deux fermouers d'argent, dorez, esmaillez de Adam et Eve, et cinq bullons de cuivre dorés sur chaque ais

Nestor, qui voyait tomber ses plus vaillants capitaines sous la main du cruel Adraste, comme les épis dorés tombent pendant la moisson, sous la faux tranchante d'un infatigable moissonneur

Nos arbres touffus nous donnaient une ombre plus agréable que les lambris dorés des palais des rois

On publie à son de trompe et cri public par les carrefours de Paris l'ordonnance du roi contre les passements d'or et d'argent, les dentelles, les points de Gêne, de Venise et de Raguse, les carrosses dorés et autres superfluités

Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés !

Voyez-vous ces cases étroites Et ces palais si grands, si beaux, si bien dorés ?

Mots dorés en amour font tout

Des couleurs du matin tu dores les coteaux

Ces palais tout dorés qu'assiége la misère

Près des flots du riant Ilisse, Les parfums dorés du narcisse Embaument nos vallons fleuris

Tous lesquels coings sont cottonnés, mais plus les moiens et dorés que les autres, comme marque de bonté

Après ce petit bal, on vit entrer.... cinquante Bas-Bretons dorés jusqu'aux yeux

Et que nus orfevres ne face ouvrage de keuvre [cuivre] ki soit dorés ne argentés, se ce n'est ouvrage d'eglise

Quand le fruit de Cérès De ses tuyaux dorés enrichit nos guérets

Ces faubourgs aujourd'hui si pompeux et si grands, Que la main de la paix tient ouverts en tous temps, D'une immense cité superbes avenues, Où nos palais dorés se perdent dans les nues, Étaient de longs hameaux de remparts entourés, Par un fossé profond de Paris séparés