Citations sur ib. ii 3

Après que les auditeurs eurent ri de toute leur faculté risible, le baron de Sigognac voulut que son page reparût sur le théâtre

Ah ! c'est le moindre prix qu'il se doit proposer, Si le ciel de mon sort me laisse disposer

Ceux qui connaissent tant soit peu les antiquités savent combien les premiers temps étaient curieux d'ériger et de conserver de tels monuments et combien la postérité retenait soigneusement les occasions qui les avaient fait dresser

L'amour impudique eut tant d'autels....

De vous menacer on a même l'audace

Du moins est-il assuré qu'il se faisait des cantiques que les pères apprenaient à leurs enfants

En vain on fait agir la force ou la prudence

Eh quoi ! deux malheureux, en ces lieux abordés, D'un oeil si soupçonneux seraient-ils regardés ?

La vanité est si ancrée dans le coeur de l'homme qu'un soldat, un goujat, un cuisinier se vante et veut avoir ses admirateurs ; et les philosophes mêmes en veulent

Il se passa quatre cent trente ans avant que Dieu donnât à son peuple la terre qu'il lui avait promise

Palsangué ! morguienne ! ça n'est pas bien de battre les gens

Les statues ont succédé après les colonnes aux masses grossières et solides que les premiers temps érigeaient

Dieu se rendit sensible par de continuels miracles

De ce couple perfide J'avais presque oublié l'attentat parricide

Qui, dans l'obscurité nourrissant sa douleur,...

Il servit d'exemple à la sévère jalousie de Dieu

... Il [Annibal] m'a surtout laissé ferme en ce point D'estimer beaucoup Rome et ne la craindre point

Par cette admirable discipline, un peuple sorti d'esclavage et tenu quarante ans dans un désert, arrive tout formé à la terre qu'il doit occuper

Parle, achève, ô mon Dieu ! ce sont là de tes coups

Plus j'ai cherché, madame, et plus je cherche encor En quelles mains je dois confier ce trésor

Les iniquités n'étaient pas au comble où il les attendait

Mon Dieu, j'ai combattu soixante ans pour ta gloire

Un moment l'a fait naître, un moment va l'éteindre

Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux

Quittons notre ajustement de Flamand, pour songer à d'autres machines