Citations sur Ém. iv

Le vrai contentement n'est ni gai ni folâtre

Vous rirez de me voir faire un contemplatif, un philosophe

Pour porter son préfet [d'études] à lui donner congé

Plus j'y pense, plus je me confonds

Au milieu de tant de gens concourant à leur plaire

C'est qu'ils comptent de n'être jamais hommes

C'est de le rendre comptable de ses actions à lui-même

Les esprits vivifiants retenus et cohobés dans son sang

Excédés de vos fades leçons, de vos longues morales

Examinez-le au moment qu'il arrive à Paris

Moins on lui en parlait, et plus il s'en occupait

Un chimiste combinant des mixtes ne les fera pas sentir dans son creuset

S'il rencontre un jeune homme mieux mis que lui

Le temps vient où la même nature [la nature même] prend soin d'éclairer son élève

Vont-ils dans la Tartarie méditerranée....

Tout ce que je sens hors de moi, et qui agit sur mes sens, je l'appelle matière

La substance est durcie, et les nouvelles empreintes ne marquent plus

Les marmousets de Laban, les manitous des sauvages

Sur le penchant de quelque agréable colline bien ombragée, j'aurais une petite maison rustique, une maison blanche avec des contrevents verts

Si j'étais riche, je jouerais un très petit jeu

À trente ans il écraserait tous ces insectes

La puberté est toujours plus hâtive chez les peuples policés

Les douleurs de la néphrétique lui feront grincer les dents

Il voit les mêmes passions dans le goujat et l'homme illustre

Il faut gauchir et tergiverser sans cesse