Citations sur rodog. ii 4

Cet avertissement marque une défiance

Quels attraits penses-tu qu'ait pour nous la couronne ?

Une larme d'un fils peut amollir sa haine

Si je retiens mon bras, je laisse aller ma plainte

Nous avons en son coeur, vous et moi, peu de part

Elle est mère, et le sang a beaucoup de pouvoir

Une douleur si sage et si respectueuse Ou n'est guère sensible ou guère impétueuse

....Quoi que nous étale un langage si doux, Elle a tout fait pour elle, et n'a rien fait pour nous

Voyez-vous bien quel est le ministère infâme Qu'ose exiger de nous la haine d'une femme ?

Ô haines ! ô fureurs dignes d'une Mégère !

Je me cache à moi-même un excès de malheur Où notre ignominie égale ma douleur

Une douleur si sage et si respectueuse, Ou n'est guère sensible ou guère impétueuse

De ses pleurs tant vantés je découvre le fard

Je forme un beau dessein que son amour m'inspire

De deux princes ses fils elle fait ses bourreaux