Citations sur brit. iii 1

.... Vous appuyez vous-même son courroux

Mais si dans son devoir votre coeur affermi Voulait ne point s'entendre avec son ennemi....

Mais, croyez-moi, l'amour est une autre science, Burrhus, et je ferais quelque difficulté D'abaisser jusque-là votre sévérité

Mais, croyez-moi, l'amour est une autre science, Burrhus, et je ferais quelque difficulté D'abaisser jusque-là votre sévérité

Elle [Agrippine] sait son pouvoir, vous savez son courage

Ne doutez point, seigneur, que ce coup ne la frappe ; Qu'en reproches bientôt sa douleur ne s'échappe

Vous redoutez un mal faible dans sa naissance

Je m'en reposerai sur votre expérience

Je vous croirai Burrhus, lorsque dans les alarmes Il faudra soutenir la gloire de nos armes, Ou lorsque, plus tranquille, assis dans le sénat, Il faudra décider du destin de l'État

Ne doutez point, seigneur, que ce coup ne la frappe, Qu'en reproches bientôt sa douleur ne s'échappe

Et de quel oeil Ma mère a-t-elle vu confondre son orgueil ?

Si vous daigniez, seigneur, rappeler la mémoire Des vertus d'Octavie indignes de ce prix

Ne doutez point, seigneur, que ce coup ne la frappe

Vous redoutez un mal faible dans sa naissance

Mais si dans son devoir votre coeur affermi Voulait ne point s'entendre avec son ennemi

Ne doutez point, seigneur, que ce coup ne la frappe, Qu'en reproches bientôt sa douleur ne s'échappe

Je vous croirai Burrhus, lorsque dans les alarmes Il faudra soutenir la gloire de nos armes, Ou lorsque, plus tranquille, assis dans le sénat, Il faudra décider du destin de l'État

Chaste amour

Ses transports dès longtemps commencent d'éclater ; à d'inutiles cris puissent-ils s'arrêter. - Quoi ! de quelque dessein la croyez-vous capable ?