Citations sur hor. iii 4

L'hymen n'efface point ces profonds caractères ; Pour aimer un mari, l'on ne hait pas ses frères

L'hymen qui nous attache en une autre famille

Et quand l'âme une fois a goûté son amorce [de l'amour]

Mais, à bien regarder ceux [les maux] où le ciel me plonge, Les vôtres auprès d'eux vous sembleront un songe

Parlez plus sainement de vos maux et des miens

C'est un raisonnement bien mauvais que le vôtre

La nature en tout temps garde ses premiers droits

La nature en tout temps garde ses premiers droits

On voit d'un oeil divers des noeuds si différents

Et laissez votre sang hors de comparaison

C'est un raisonnement bien mauvais que le vôtre

Et pour suivre un mari l'on quitte ses parents

Parlez plus sainement de vos maux et des miens ; Chacun voit ceux d'autrui d'un autre oeil que les siens

L'hymen qui nous attache en une autre famille

La nature en tout temps garde ses premiers droits

Il [l'amour] entre avec douceur, mais il règne par force

Mais l'amant qui vous charme et pour qui vous brûlez, Ne vous est après tout que ce que vous voulez ; Une mauvaise humeur, un peu de jalousie En fait assez souvent passer la fantaisie

Des frères ne sont rien à l'égal d'un époux

L'hymen qui nous attache en une autre famille Nous détache de celle où l'on a vécu fille

Chacun voit ceux [les maux] d'autrui d'un autre oeil que les siens

C'est sans les oublier qu'on quitte ses parents : L'hymen n'efface point ces profonds caractères

Ce que peut le caprice, osez-le par raison