Citations sur ib.

Toutes fragiles fleurs, sitôt mortes que nées

L'ame de l'homme sieche et fletrit

Mon phlegme est philosophe autant que votre bile

La malheureuse Troie tombera, a-t-il dit ; mais elle ne peut tomber qu'après qu'elle aura été attaquée par celui qui tient les flèches d'Hercule

M. Jurieu nous parle ici des flatteurs des princes, et il ne songe pas aux flatteurs des peuples

Ne voyez-vous pas, lui répondit Mentor, que les princes gâtés par la flatterie trouvent sec et austère tout ce qui est libre et ingénu ?

Le suppliant se desmarcha et sailly ou se mist en une petite flesque ou maulvais pas

L'élite de l'armée et l'empereur étaient perdus, si une seule des flammèches qui volaient sur nos têtes s'était posée sur un seul caisson

Ung chandellier d'argent, faict en lyon, portant ung flambeau en la gueulle

La position de cet arc [l'arc du méridien qui traverse la France] est si avantageuse, que les savants de toutes les nations, pour fixer la mesure universelle, n'eussent point fait un autre choix

Leur administrer bastons ou armeures deffensables pour faire leurs finesses [leur mauvais coup]

Ce n'est plus votre fils, c'est le maître du monde

Un homme riche n'est jamais vieil pour une fille

Qui a des filles est toujours berger

Fille telle comme elle est élevée ; et estoupe comme elle est filée

Fille qui trop se mire peu file

Fille oisive à mal pensive ; fille trop en rue tost perdue

Fille fenestriere ou trottiere rarement bonne menagere

Fille à se parer, jeune homme à jouer et banqueter, et vieillard à boire despendent leur avoir

Belle fille et mechante robe trouve toujours qui les accroche

Fille qui trotte et geline [poule] qui vole, de legier sont adirées

Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion, Jeunes et tendres fleurs par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées

Un fil n'eût point assez rassuré votre amante

Ceux qui ont écrit le livre des fiefs nous apprennent que d'abord les seigneurs purent les ôter à leur volonté ; qu'ensuite ils les assurèrent pour un an, et après les donnèrent pour la vie

Notre siècle est plein de ces demi-fidèles qui, sous prétexte de dépouiller la religion de tout ce que la crédulité ou les préjugés ont pu y ajouter, ôtent à la foi tout le mérite de la soumission