Citations sur phedre i 1

Et depuis quand, seigneur, craignez-vous la présence De ces paisibles lieux si chers à votre enfance ?

Qui sait même, qui sait si le roi votre père Veut que de son absence on sache le mystère ?

Dans un âge plus mûr moi-même parvenu

Vous périssez d'un mal que vous dissimulez

J'ai demandé Thésée aux peuples de ces bords Où l'on voit l'Achéron se perdre chez les morts

J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare

Hélène à ses parents dans Sparte dérobée

On vous voit moins souvent.... Tantôt faire voler un char sur le rivage....

J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare

J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare

Sa vaine inimitié n'est pas ce que je crains

Trop crédules esprits que sa flamme [de Thésée] a trompés

Jamais l'aimable soeur des cruels Pallantides Trempa-t-elle aux complots de ses frères perfides ?

Craint-on de s'égarer sur les traces d'Hercule ?

Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats Croyez-vous découvrir la trace de ses pas ?

Depuis plus de six mois éloigné de mon père, J'ignore le destin d'une tête si chère

À peine elle vous vit, Que votre exil d'abord signala son crédit

J'ai couru les deux mers que sépare Corinthe

Que savez-vous ? Qu'en savez-vous ? Que sais-je ? Que sait-on ce qui arrivera ? La question est de savoir si.... Reste à savoir si.... Qui sait même, qui sait si le roi votre père Veut que de son absence on sache le mystère ?

Heureux si j'avais pu ravir à la mémoire Cette indigne moitié d'une si belle histoire !

Et les os dispersés du géant d'Épidaure

Je commence à rougir de mon oisiveté

Mais quand tu récitais des faits moins glorieux [de Thésée], Sa foi partout offerte et reçue en cent lieux, Hélène à ses parents dans Sparte dérobée

Mon père la [Aricie] réprouve, et, par des lois sévères, Lui défend de donner des neveux à ses frères

S'il a quelque douceur, n'osez-vous l'essayer [l'amour] ?