Citations sur moliere

Quel avantage a-t-on qu'un homme vous caresse, Vous jure amitié, foi, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous un éloge éclatant, Lorsqu'au premier faquin il court en faire autant ?

Je vous assure que nous sympathisons, vous et moi

Je donne, il en prend six, et demande à refaire

Je ne vois point de plus plaisante momerie, je ne vois rien de plus ridicule, qu'un homme qui se veut mêler d'en guérir un autre

Qui dort en sûreté sur un pareil appas, Et le plaint, ce galant, des soins qu'il ne prend pas

Lorsqu'un franc campagnard avec longue rapière, Montant superbement sa jument poulinière, Qu'il honorait du nom de sa bonne jument

Et j'y pouvais un jour, sans trop croire de moi, Prétendre, en les servant, un honorable emploi

Apprendre le bel air des choses

Andrès et Trufaldin, à l'éclat du murmure, Ainsi que force monde accourus d'aventure, Ont à les décharpir eu de la peine assez, Tant leurs esprits étaient par la fureur poussés

Il semble, à vous ouïr parler, que ces règles de l'art soient les plus grands mystères du monde ; et cependant ce ne sont que quelques observations aisées que le bon sens a faites sur ce qui peut ôter le plaisir que l'on prend à ces sortes de poëmes

Et ces yeux les ont vus s'entre-donner parole

Chaque instant de ma vie est chargé de souillures, Elle n'est qu'un amas de crimes et d'ordures

Il était fort obligeant, fort officieux ; et, comme il se connaissait fort en étoffes, il en allait choisir de tous côtés, les faisait apporter chez lui et en donnait à ses amis pour de l'argent

On m'a dérobé mon argent

Je pourrai bien tantôt lui souffler cette proie

Tout est merveilleux, je vous assure ; je suis enthousiasmée de l'air et des paroles

Un fort honnête médecin, dont j'ai l'honneur d'être le malade, me promet et veut s'obliger par-devant notaire de me faire vivre encore trente années, si je puis lui obtenir une grâce de Votre Majesté [un canonicat pour son fils]

Mais, seigneur Trufaldin, songez-vous que peut-être Ce monsieur l'étranger a besoin de repaître ?

On peut, pour vous servir, remuer des machines

Fi ! ne me parlez point, pour être vrais amants, De ces gens qui pour nous n'ont nuls emportements, De ces tièdes galants, de qui les coeurs paisibles Tiennent déjà pour eux les choses infaillibles

Lorsque l'on pend quelqu'un, on lui dit pourquoi c'est

Ah ! seigneur Geronimo, je vous trouve à propos, et j'allais chez vous vous chercher

Laissez-moi m'assouvir dans mon courroux extrême, Et laver mon affront au sang d'un scélérat

Confondre l'apparence avec la vérité, Estimer le fantôme autant que la personne

Je dois de votre coeur me montrer satisfait, Et l'applaudir ici du beau choix qu'il a fait