Citations sur jean de la fontaine

De grâce, à quoi bon tout ceci ? Dit une abeille fort prudente ; Depuis tantôt six mois que la cause est pendante, Nous voici comme au premier jour

Un paysan son seigneur offensa ; L'histoire dit que c'était bagatelle ; Et toutefois ce seigneur le tança Fort rudement ; ce n'est chose nouvelle

Tout allait bien, quand leur emplette, En passant par certains endroits, Remplis d'écueils et fort étroits Et de trajet fort difficile, Alla toute emballée au fond des magasins Qui du Tartare sont voisins

Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine

Il a beaucoup d'endroits fort champêtres, et c'est ce que j'aime sur toutes choses

Mais dès que le long âge Eut glacé le pauvre animal, La même cuisine alla mal

....Quand la race escarbote Est en quartier d'hiver, et, comme la marmotte, Se cache et ne voit point le jour

Quelle loi En [du terrier] a pour toujours fait l'octroi à Jean fils ou neveu de Pierre ?...

De nouveauté dans mon fait il n'est maille

Contre mon ordinaire Je dormais tranquillement

L'esprit [le démon] s'en va, n'a point de cesse Qu'il n'ait mis le fil sous la presse

L'équipage suait, soufflait, était rendu

À demeurer chez soi l'une et l'autre s'obstine

....Je suis encor d'avis Que nous rendions le temps moins long par des récits

Un heurt survient : adieu le char ; Voilà messire Jean Chouart Qui du choc de son mort a la tête cassée ; Le paroissien en plomb entraîne son pasteur

Ils étaient de ceux-là qui vivent Sur le public, et, craignent peu les coups

Un villageois, un hère, un pauvre diable

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette ; La cigogne au long bec n'en put attraper miette, Et le drôle eut lapé le tout en un moment

Pardonnez-moi, si j'ai quelque soupçon, Que cet habit dont vous êtes vêtue, En vous voilant, soit receleur d'appas

Pâleur.... dont la cause était telle, Qu'elle donnait du lustre à notre belle

Puis cet homme et son fils le portent [l'âne] comme un lustre

Un marchand grec en certaine contrée Faisait trafic ; un bassa l'appuyait ; De quoi le Grec en bassa le payait, Non en marchand ; tant c'est chère denrée Qu'un protecteur....

Allez, vous êtes une ingrate, Ne tombez jamais sous ma patte

Quand vous seriez impératrice, Je vous dis que ce pèlerin A de quoi marchander non pas une mortelle, Mais la déesse la plus belle

Le bien n'est bien qu'en tant que l'on s'en peut défaire ; Sans cela c'est un mal