Citations sur jean de la fontaine

Qu'y a-t-il de nouveau ? Mais surtout évitez Les traits que tant de fois l'églogue a répétés ; Il me faut du nouveau, n'en fût-il plus au monde

Je hante les palais, je m'assieds à ta table

Elle [la grandeur royale].... Maintient le laboureur, donne paie au soldat

Deux mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé....

....Ah ! ah ! sire Grégoire, Vous avez soif ! je crois qu'en vos repas Vous humectez volontiers le lampas

Il ne sait que par ouï-dire Ce que c'est que la cour

Pour tout carquois, d'une large escarcelle En ce pays le dieu d'amour se sert

Un passant lui demande [à un enfouisseur] à quel sujet ses cris. - C'est mon trésor que l'on m'a pris

La chose ainsi réglée, on composa trois lots ; En l'un les maisons de bouteille, Les buffets dressés sous la treille, La vaisselle d'argent, les cuvettes, les brocs

Je vois fuir aussitôt toute la nation Des lapins, qui, sur la bruyère, L'oeil éveillé, l'oreille au guet, S'égayaient, et de thym parfumaient leur banquet

Que de filles, Ô dieux ! mes pièces de monnoie Ont produites !...

Dieu par sa bonté profonde, Un beau jour mit dans le monde Apollon son serviteur, Et l'y mit justement comme Adam le nomenclateur, Lui disant : te voilà, nomme

Ainsi certaines gens faisant les empressés S'introduisent dans les affaires..., Et, partout importuns, devraient être chassés

Le sang les avait joints, l'intérêt les sépare

Le pauvre gars.... puis après il fit chasse

Et pas un d'aventure N'aperçut ni cor ni ramure

Maintenant il faut que j'appuie Ce que j'avançai lors, de quelque trait encor

Un misérable coq à point nommé chantait

Je ne viendrais jamais à bout De nombrer les faveurs que l'amour leur envoie

Cette passion Était crue avec l'âge au coeur des deux femelles

Et quand il [le Styx] est franchi, les filles du destin Filent aux habitants une nuit sans matin

Prétendrais-tu nous gouverner encor, Ne sachant pas te conduire toi-même ?

Le malheureux lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air qui n'en peut mais....

Le monarque des dieux leur envoie une grue Qui les croque, qui les tue, Qui les gobe à son plaisir

Souffrirons-nous, braves gens que nous sommes, Qu'un pirate à nos yeux se gorge de butin, Qu'il traite comme esclave une beauté divine ? Allons tirer notre voisine D'entre les griffes du mâtin