Citations sur jean de la fontaine

L'un des deux compagnons grimpe au faîte d'un arbre ; L'autre, plus froid que n'est un marbre, Se couche sur le nez, fait le mort, tient son vent

Cependant que mon front au Caucase pareil Brave l'effort de la tempête

Les veneurs, pour ce coup, croyaient leurs chiens en faute

Apprends-moi ton métier, camarade, de grâce ; Rends-moi le premier de ma race, Qui fournisse son croc de quelque mouton gras

Le bruit s'en répandit par tout le voisinage

Notre galant n'étale un long narré

Comment tenir bon Contre ce dernier adversaire ?

Un amant qui sans lui se serait morfondu

Du reste, en quoi répond au sort divers Ce train toujours égal dont marche l'univers ?

Mais à quoi sert Bacchus, qu'à causer des querelles, Affaiblir les plus sains, enlaidir les plus belles ?

Par écrit Le sénat demanda ce qu'avait dit cet homme, Pour servir de modèle aux parleurs à venir

Chacun a son défaut, où toujours il revient

Il fut dansé, sauté, ballé

....Les simples monseigneurs N'étaient d'un rang digne de ses faveurs

Elle condescendit Aux volontés du capitaine

Quelqu'un qui bientôt En mille endroits cornera le mystère

La bigarrure plaît ; partant chacun le vit [le léopard]

Il lit au front de ceux qu'un vain luxe environne, Que la fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne

Je mets aussi sur la scène Des trompeurs, des scélérats, Des tyrans et des ingrats, Mainte imprudente pécore, Force sots, force flatteurs

Ils allaient [deux rats] de leur oeuf manger chacun sa part

On en pourra gloser, on en pourra mécroire

Je vous payerai, lui dit-elle, Avant l'oût, foi d'animal, Intérêt et principal

Concluons que la Providence Sait ce qu'il nous faut mieux que nous

Contre les assauts d'un renard Un arbre à des dindons servait de citadelle

Tout babillard, tout censeur, tout pédant Se peut connaître au discours que j'avance