Citations sur p. lebrun

Cette mort dont on parle, elle n'y croit qu'à peine, Ou l'aperçoit lointaine Dans un vague avenir

La lice à mes loisirs offrait ses passe-temps

D'un tranquille visage elle apprit la sentence

Qui.... voudrait sous le soleil d'Attique Voir les Grecs aux pieds nus danser la romaïque

Si la valse s'emporte au galop favori, Plus aimé du valseur qu'agréable au mari

Je tressaille, en songeant aux paisibles soirées Sous les regards du maître aux devoirs consacrées, Quand, devant le pupitre en silence inclinés, Nous n'entendions parfois, de ce calme étonnés, Que, d'instant en instant, quelques pages froissées, Ou l'insensible bruit des plumes empressées

Partout autour de moi je trouve un précipice

Entendez-vous la voix de la foule lointaine, Que l'air calme du soir à notre oreille amène ?

Un désir inquiet tourmentait ma jeunesse

Il semble.... oublier sa vengeance, Pareil à ces volcans qui paraissent dormir

L'Athénien tremblant, Debout, la main au coeur et la tête courbée, Adorait le coursier du tartare insolent

Voyez-vous ce serpent longtemps caché sous l'herbe ?

[Tous] au nom du saint pasteur Ont porté vers leur front le signe rédempteur

De la paix du Seigneur l'instant est arrivé

On dirait qu'à ces lieux ta vue accoutumée Les connaît autrement que par la renommée ; Tout à l'heure tes pas des miens étaient suivis ; Je t'observais surtout dans ce prochain parvis Où des rois mes aïeux les armes sont rangées

Cet oeil si bleu dont la nuance M'a rappelé la fleur qui dans nos blés balance La forme d'une étoile et la couleur du ciel !

Et comme mon aïeul, Richemond, autrefois, Des deux Roses en lui réunissant les droits, Termin pour jamais vos discordes royales, J'espérais réuni, deux couronnes rivales

Il faudra donc quitter ce beau rivage, Pour m'en aller aux bords oblivieux, Terme éternel d'un rapide voyage

Ai-je encor des amis dans mes tristes destins ? Un seul m'était resté, non parmi les humains ; Aux portes du palais il [le vieux chien] m'a su reconnaître, Il est mort de sa joie en revoyant son maître

Tombasis a vers nous fait voguer son yole

Chios nous demeure infidèle, Mais l'absence d'une hirondelle Ne fait pas manquer le printemps

Une femme est debout, de beauté ravissante, Pieds nus ; et sous ses doigts un indigent fuseau File, d'une quenouille empruntée au roseau, Du coton floconneux la neige éblouissante

À son premier aspect j'ai d'abord deviné Pour quel doux avenir j'étais prédestiné

Opinion publique ! Des actions des rois maîtresse tyrannique ! Idole méprisable, et qu'il faut respecter

v.... du soleil levant Je regardais venir la lumière enchantée ; J'observais sur la mer sa teinte veloutée