Citations sur st-lambert

Il embellit l'aurore et le soir de la vie

Leurs souris dédaigneux, leurs coups d'oeil protecteurs

De l'antique féerie on raconte une histoire

On courbe l'homme, et il reste plié ; il prend cette attitude pour celle que lui donne la nature, il s'endort dans sa misère

Près de là le ruisseau roule, tombe en cascades, Et fuit sous des lilas recourbés en arcades

.... Du prix de sa journée Il [le pauvre] meubla sa cabane et vêtit ses enfants

Sages cultivateurs, dans vos humbles asiles Vos hivers sont remplis, vos loisirs sont utiles

Le tonnerre et les vents déchirent les nuages

Et dans l'âge avancé Le présent s'embellit des vertus du passé

L'émail des gazons frais, les ruisseaux argentés

Quand vous bâillez à quelque trait D'un certain livre fort abstrait, Votre mie aussitôt vous gronde

D'un ciel tumultueux la sombre majesté

Tout se meut, s'organise et sent son existence ; La matière est vivante....

Je t'ai perdu ; près de ta cendre Je viens jouir de ma douleur

De leur toit délabré j'écartai la misère

J'associais mon coeur à tous les coeurs contents

Sur le clavier quand votre main brillante Joue avec art une pièce savante

Je me sens ranimé par de douces chaleurs ; J'y foule les gazons, j'y marche sur les fleurs

Pour juge il a son coeur, pour amis ses égaux

Avec les charmes de l'amour, Vous avez eu, jusqu'à ce jour, Plus de bonbons que de louanges

Le ministre éclairé qui, en changeant la forme de notre militaire, a diminué le nombre des officiers

Les cris de la corneille ont annoncé l'orage ; Le bélier effrayé veut rentrer au hameau

De tout ce que j'aimais cette éternelle absence [la mort] Abattit mon courage, accabla ma constance

D'un canton qui l'adore il est souvent l'arbitre, Le bon sens est son code, et l'équité son titre

Jusqu'aux fonds azurés où la voûte des airs S'unit, en se courbant, au vaste sein des mers