Citations sur fÉn.

Les taureaux furieux n'auraient pas fait un bruit aussi affreux

Alexandre chercha tous les moyens de chagriner Aristote

Toutes ses passions reprirent leurs cours

La foi inamissible ne se trouve que dans les élus

Les Troyens sont animés contre tous les Grecs

Une terreur panique, un rien vous arrache la victoire

Il croyait m'éblouir par ses promesses

Idoménée s'applique trop au détail

On ne voyait de tous côtés que des femmes tremblantes, des vieillards courbés, de petits enfants les larmes aux yeux, qui se retiraient dans la ville

Ulysse ne vit plus.... Pénélope, ne voyant revenir ni lui ni moi, n'aura pu résister à tant de prétendants

Malheureux d'être exposé aux artifices des méchants

Ronsard avait forcé notre langue par des inversions trop hardies et obscures ; c'était un langage cru et informe

Il voit dans les enfers de tous côtés voltiger les ombres, plus nombreuses que les grains de sable qui couvrent les rivages de la mer ; et, dans l'agitation de cette multitude infinie, il est saisi d'une horreur divine, observant le profond silence de ces vastes lieux

Dès qu'il entreprend sur la vie des autres, la sienne n'a plus un quart d'heure d'assuré

Les habitants étaient trop ennemis du travail

Un nombre infini d'oiseaux faisaient résonner ces bocages de leurs doux chants

Vous avez soutenu de rudes guerres, je l'avoue

Quand on a assez d'élévation de génie et d'éloquence pour gouverner, il est bien rude de passer sa vie dans la dépendance d'un peuple capricieux

Les ailes des oiseaux ont des plumes avec un duvet qui s'enfle à l'air et qui s'appesantirait dans les eaux

Les mains liées derrière le dos

Où trouverez-vous un homme sans défaut

Je donnais des plaisirs aux gens débauchés et de la dévotion aux dévots pour les tenir tous

Les taureaux les plus furieux qui auraient mugi dans leurs combats, n'auraient pas fait un bruit aussi affreux

Ne sais-tu pas que mon armée ne pouvait en un repas se désaltérer sans faire tarir des rivières ?

Les doigts des pieds, avec leurs articles et leurs ongles, servent à tâter le terrain sur lequel on marche