Citations sur tel. xviii

Jupiter même, à la prière de Minerve, avait ordonné à Mercure.... de....

La vue de son propre coeur.... devient son supplice

Son corps était couvert d'une sueur glacée ; mais son courage se soutint

Là on n'entendait que le croassement des corbeaux

Le tyran [Pluton] qui tient en crainte les vivants et les morts

Les hommes sont aveugles et sur le bien et sur le mal

Je n'ai jamais fait aucun mal

Autour de ces rois voltigeaient, comme des hiboux dans la nuit, les cruels soupçons, les vaines alarmes

Le lion aiguise ses dents et ses griffes, attendant le moment favorable

Il voit dans les enfers de tous côtés voltiger les ombres, plus nombreuses que les grains de sable qui couvrent les rivages de la mer ; et, dans l'agitation de cette multitude infinie, il est saisi d'une horreur divine, observant le profond silence de ces vastes lieux

Caron admet dans sa barque le jeune Grec

Les animaux qui ont accoutumé de ne sortir que pendant la nuit

Ses cheveux se dressent sur sa tête quand il aborde le noir séjour de l'impitoyable Pluton

Il était conduit par l'amour pieux qu'un fils doit à son père

Pluton était sur son trône d'ébène ; son visage était pâle et sévère

L'herbe était amère, et les troupeaux qui la paissaient ne sentaient pas la joie qui les fait bondir

Il remarque [dans les enfers] les ombres légères qui voltigent autour de lui

L'envie, qui verse son venin mortel autour d'elle, et qui se tourne en rage, dans l'impuissance où elle est de nuire

On mit hier avec pompe mes cendres dans une urne d'or

Il voit les tristes bords du fleuve marécageux dont les eaux bourbeuses et dormantes ne font que tournoyer

Orphée a bien touché, par le récit de ses malheurs, le coeur de ce dieu qu'on dépeint comme inexorable [Pluton]

La barque touchait déjà le rivage de l'empire de Pluton

On fait gloire d'être ingrat envers les dieux, de qui on tient la vie et tous les biens qu'elle renferme

Le fils d'Ulysse, l'épée à la main, s'enfonce dans ces ténèbres horribles [de l'enfer]

La vapeur soufrée du marais stygien, qui s'exhalait sans cesse par cette ouverture, empestait l'air