Citations sur fÉn.

Dieu vous veut petit à vos yeux et simple dans ses mains comme un petit enfant

Remporter quelque grand avantage sur eux par les armes

Neptune de son trident frappait la terre, et on en voyait sortir un cheval fougueux

Est-ce ainsi que vous soutenez Télémaque contre le vice auquel il succombe ?

Les moyens de donner une forme solide au gouvernement

Jeunes hommes qui n'avaient eu aucune éducation

Elle [Cérès] montrait à ces hommes grossiers l'art d'adoucir la terre

Montrez-moi que ce qui pense en l'homme n'est point le corps, et subsiste toujours après que cette machine grossière est déconcertée

Les vers à soie se font de leur coque une espèce de tombeau

D'autres [animaux] ont des écailles qui se couvrent les unes les autres comme les tuiles d'un toit

À la gymnastique on a fait succéder l'art de farder les corps et de leur donner une beauté factice

N'est-ce pas le comble de l'orgueil et de la témérité à un particulier de craindre que l'Église ne se soit trompée dans sa décision, et de ne craindre pas de se tromper soi-même en décidant contre elle ?

Aussitôt on accourt ; tout le peuple empressé Crie, pousse, se bat pour être bien placé

Une femme curieuse se passionne pour un parti contre un autre dans toutes les disputes qui la surpassent

Le fils d'Ulysse, l'épée à la main, s'enfonce dans ces ténèbres horribles [de l'enfer]

Je me sentis saisi de respect et de honte, quand j'approchai de ces vieillards

Vos historiens nous sont inconnus ; on n'en a que des morceaux extraits et rapportés par des relateurs peu critiques

Un pressentiment de son malheur lui donnait un cuisant repentir de son voeu indiscret

Le temple était incrusté de marbre

Il me représentait d'un côté les cyclopes, géants monstrueux qui dévorent les hommes

Il rappelle en lui-même avec confusion les sages conseils de Mentor

Il n'y a rien de plus beau que de dire franchement : j'ai tort

Ne sera-t-on fidèle et religieux pour les serments que quand on n'aura rien à gagner en violant sa foi ?

Télémaque fit ses derniers efforts pour les en empêcher

Aristote prétend que l'action la plus noble de notre entendement est la spéculation des choses naturelles