Citations sur bÉrang.

Elle revint longtemps après ; J'étais à chanter sous la treille

Je préside à tous les banquets, à ma fête j'ai des bouquets

Des droits de l'homme ici l'ère féconde S'ouvre et du globe accomplira le tour

.... Et je retrouve encore Trois pieds d'un vers charbonnés sur le mur

Lorsque la fortune à sa roue Attache mille ambitieux

Allons, chasseur, vite en campagne, Du cor n'entends-tu pas le son ?

Ah ! je voudrais qu'on entendît Tinter sur la vitre sonore Le grésil léger qui bondit

La nuit a ralenti les heures ; Le sommeil s'étend sur Paris

Ne souffrons pas qu'elle bourdonne, Qu'elle bourdonne autour de nous

Que bien longtemps cet album vous redise Qu'un chansonnier.... Fut un moment la dupe de vos yeux

Oui, d'âge en âge, une palme féconde Doit de tes fils protéger les tombeaux

Le sang remonte à son front qui grisonne ; Le vieux coursier a senti l'aiguillon

Soleil si doux au déclin de l'automne, Arbres jaunis, je viens vous voir encor, N'espérant pas que la haine pardonne à mes chansons leur trop rapide essor

Dans son fourneau rien qu'il [le chimiste] ne jette

Ce pauvre diable ainsi parlant Mettait en gaieté tout l'hospice

Sorciers, bateleurs ou filous, Gais bohémiens, d'où venez-vous ?

À courir les fillettes.... Il s'est couvert de dettes

Vidons, joyeux Français, Nos caves renommées

Jadis ton maître a fait mainte folie Pour des minois moins friands que le tien

En rajustant sa cornette

Grâce à votre bourriche pleine De gibier digne d'un glouton

En attrapant mieux que des puces, On a vu carlins et bassets Caresser Allemands et Russes

Le char de l'opulence M'éclabousse en passant

Quels biens possédait Homère ? Une besace, un bâton

Là, devant ce péristyle, Un tribunal impuissant Au bûcher livra l'Émile, Phénix toujours renaissant