Citations sur bÉrang.

Les petits coups, selon toi, Sentent le buveur qui chancelle

D'après mon blason, Je crois ma maison Plus noble, ma foi, Que celle du roi

Chez l'étranger la mort l'atteint ; Qu'il dut trouver sa coupe amère !

À ceux qui de David [le peintre], hélas ! Rapportaient chez nous la poussière

L'aimable fée apparaît à mes yeux, Ses doigts distraits effeuillent une rose

Qu'en un congrès, se partageant le monde, Des potentats soient trompeurs ou trompés

... Qui pouvait répondre Que le ciel.... N'eût point vu sur la tour de Londre Flotter en fin les trois couleurs !

Frappe ! et ces bords [la Grèce], au gré du ciel vengeur, Reverdiront d'abondance et de gloire

Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

.... Il ne levait de ban Que pour tirer quatre fois l'an Au blanc

D'un masque saint ils couvrent leur vengeance ; Rougiraient-ils devant ma probité ?

N'est-on pas las d'ambitions vulgaires, De sots parés de pompeux sobriquets ?

Ma soeur est-elle mariée ? Avez-vous vu de nos garçons La foule aux noces conviée La célébrer dans leurs chansons ?

Qu'un valet change ses galons Sans changer d'antichambre

Depuis que chez ma cousine Qui jeûnait en carnaval....

L'aurore annonce un jour serein.... Fillettes, flûte et tambourin, Mettez les vendangeurs en train

Un festin que Rose apprête, Gaîment par nous est dressé

Si du trône par occurrence Un roi tombait ; que subito On le ramène en son château

J'ai su depuis qui payait sa toilette

À longs flots puisez l'allégresse Dans ces flacons d'un vin mousseux

Depuis dix ans je te brosse moi-même, Et Socrate n'eût pas mieux fait

Mon appétit s'ouvre, Et mon oeil découvre Les portes d'un Louvre En tourte arrondi

Brennus disait aux bons Gaulois : Célébrez un triomphe insigne ; Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

Sur ce brasier souffle donc en silence, Ou d'un vieux livre interroge les mots

Pierrots et paillasses Charment sur les places Le peuple ébahi