Citations sur corneille

Ô dieux ! que ce discours rend mon âme contente !

C'est trop peu de mon lit, tu veux encor ma robe, Rivale insatiable

Un diable de ménage

Et, saintement rebelle aux lois de la naissance, Une fois envers toi manquer d'obéissance

J'en puis voir sa fenêtre ; et de sa chère idée Mon âme à cet aspect sera mieux possédée

Quoi ! pour voir sur sa tête éclater ma couronne

Puisqu'on fait bonne garde aux murs et sur le port

Vous-même, amour à part, je vous en fais arbitre

Un si mortel affront

Et nos premiers consuls nous ont coûté des guerres

J'ose dire, seigneur, que par tous les climats Ne sont pas bien reçus toutes sortes d'états

Cette porte secrète ici nous favorise

Par les peines d'un autre aucun ne s'intimide

Et si Rome savait de quels feux vous brûlez

Cesse de soupirer, Rome, pour ta franchise

Va, je ne te hais point....

Ce n'est plus la valeur, ce n'est plus la naissance Qui donne quelque droit à la toute-puissance

La source de ma haine est trop inépuisable

Cléante : Le prix ? - Le libraire : Chacun le sait ; Autant de quarts d'écus, c'est un marché tout fait

Et tous maux sont pareils alors qu'ils sont extrêmes

Malgré la triste paix que vous avez jurée

Que parlez-vous ici d'Albe et de sa victoire ?

Cet horrible débris d'aigles, d'armes, de chars, Sur ces champs empestés confusément épars

Je vais lui présenter mon estomac ouvert

La pesanteur du coup souvent nous étourdit