Citations sur pomp. iv 1

Un moment pousse et rompt un transport violent ; Mais l'indignation qu'on prend avec étude, Augmente avec le temps, et porte un coup plus rude

Son faux art de clémence, ou plutôt sa folie, Qui pense gagner Rome en flattant Cornélie

Il a vu ses faisceaux Marcher arrogamment et braver nos drapeaux

L'âpre déplaisir

Contre sa fortune allez à force ouverte

Et pour peu qu'on le pousse, il est prêt d'éclater

Quel temps devons-nous prendre, et quel ordre tenir ?

Son sort que tu plains te doit faire penser Que ton coeur est sensible et qu'on peut le percer

Oui, par là seulement ma perte est évitable

Six mille hommes Que.... Je faisais tenir prêts à tous événements

Ses farouches regards étincelaient de rage

Nous pouvons beaucoup, sire, en l'état où nous sommes

J'ai mal connu César ; mais puisqu'en son estime Un si rare service est un énorme crime....

J'ai mal connu César....

Je sais mieux conformer les remèdes au mal

.... N'espérez pas de le voir modéré [César]

Mais ce n'est pas assez, amis, de s'irriter, Il faut voir quels moyens on a d'exécuter

Je n'abandonne plus ma vie et ma puissance Au hasard de sa haine, ou de ton inconstance

Ou si quelque lumière en leur âme se glisse

Agissez avec feinte, Sire, et ne lui montrez que respect et que crainte

J'ai remarqué l'horreur que ce peuple a montrée Lorsque avec tant de faste il a vu ses faisceaux [de César] Marcher arrogamment et braver nos drapeaux

Par adresse il se fâche, après s'être assuré

Les gens de Cornélie, entre qui les Romains Ont déjà reconnu des frères, des germains