Citations sur corneille

Ses voeux depuis quatre ans ont beau l'importuner

J'espère démêler cette confusion

Elle [Rome] a nourri vingt ans un prince votre fils.... Si vous faites état de cette nourriture

Jetez sur votre fille un regard paternel

Le plonge en un bain d'eaux et d'herbes inconnues

La frayeur lui doit faire prendre la fuite

Qu'on m'emporte d'ici, je me meurs

Oui c'est moi qui voudrais effacer de ma vie Les jours que j'ai vécu sans vous avoir servie

Je maudirais les dieux s'ils me rendaient le jour

Je ne me satisfais d'aucunes conjectures

Des rivaux de Léon il est le plus jaloux, Et roule des projets qu'il ne dit pas à tous

Et vers moi tout l'effort de son autorité N'agit que par prière et par civilité

Nos plaisirs les plus doux ne vont point sans tristesse

Sitôt qu'il se connaît, il en veut à mes jours

Mais, seigneur, je m'emporte, et l'excès d'un tel heur Me fait vous en parler avec trop de chaleur

Il a fait de l'État une juste conquête

Seigneur, le récit même en paraît effroyable

Je me suis à ce choix moi-même autorisée

Ne vous obstinez point en cette humeur étrange

Arrêtez-vous, seigneur, et d'une âme apaisée Souffrez que je vous livre une vengeance aisée

Cléopatre : Quoi ! vous me soupçonnez ? - Rodogune : Quoi ! je vous suis suspecte ?

Oui, vous avez raison, belle et sage Clarice ; Ce que vous m'ordonnez est la même justice ; Et comme c'est à nous à subir votre loi...

Mais si j'aime, c'est mal me faire votre cour

À moi, comte, deux mots

Maxime, je vous fais gouverneur de Sicile