Citations sur corneille

Il y va de ma gloire, il faut que je me venge

Et, sous un faux semblant de libéralité, Soûler et ma vengeance et ton avidité

Les plus ardents transports d'une haine connue Ne sont qu'autant d'éclairs avortés dans la nue

C'est elle, et je me rends, monsieur, à cette fois

Puis-je d'un tel chagrin savoir quel est l'objet ? - Cinna : Émilie et César ; l'un et l'autre me gêne, L'un me semble trop bon, l'autre trop inhumaine

J'adore ce grand coeur qui rend ce qu'il doit rendre Aux illustres aïeux dont on vous voit descendre

Ô jeûnes, pauvreté, disciplines, cilices, Amoureuses rigueurs et triomphants supplices, ô cloître, ô saints travaux, qu'il vous faut souhaiter !

C'est le salutaire suprême, Que vos saintes prénotions Vous ont fait préparer vous-même Devant toutes les nations

Je soupirais pour vous en combattant pour elle [Albe] ; Et, s'il fallait encor que l'on en vînt aux coups, Je combattrais pour elle en soupirant pour vous

Et mon coeur tout entier vole à votre secours

Ah ! mon père, prenez un plus doux sentiment

Madame, enfin Galba s'accorde à nos souhaits

....Une grande offense est de cette nature Que toujours l'offenseur impute à l'offensé Un vif ressentiment dont il le croit blessé

Six mille hommes Que.... Je faisais tenir prêts à tous événements

Il est le dieu du peuple et celui des soldats ; Sûr de ceux-ci, sans doute il vient soulever l'autre

C'est un jour choisi par deux souverains pour l'effet d'un traité de paix entre leurs couronnes ennemies

Sertorius : De votre lieutenant m'envierez-vous le nom ? - Pompée : De pareils lieutenants n'ont de chefs qu'en idée

Non, il s'est caché d'eux en cette conférence

Mais pour moi sa louange [de Rodrigue] est un nouveau supplice

Et pourtant votre gloire a fait de tels éclats Que les filles de roi ne vous manqueront pas

Telle, dis-je, Vénus sortit du sein de l'onde, Et promit à ses yeux la conquête du monde, Quand elle eut consulté sur leur éclat nouveau Les miroirs vagabonds de son flottant berceau

Ne pourrai-je surprendre un regard favorable, Un regard désarmé de toutes ces rigueurs ?

Un père à qui le sang l'attache

L'effort où mon devoir m'engage Ne peut plus me réduire à vous donner demain Ce qui vous était sûr, je veux dire ma main

Qui n'appréhende rien présume trop de soi