Citations sur corneille

Je ne dénierai point, puisque vous les savez, De justes sentiments dans mon âme élevés

De la main de ton père un coup irréparable Déshonorait du mien la vieillesse honorable

Que les peuples les plus puissants Dans nos souhaits à pleins voeux nous secondent

Allons briser ces dieux de pierre et de métal

[ô Rome] Albe est ton origine

Il [Attila] était plus homme de tête que de main, tâchait à diviser ses ennemis, ravageait les peuples indéfendus....

Je n'ai pu gagner un moment d'audience

Et ces informes traits qu'à six mois a l'enfance, Ayant mis entre nous fort peu de différence

Je m'impose à vos yeux la plus dure des gênes

Sans lui j'obéirais où je donne la loi

Il est bon cependant de la faire saisir

Et que votre bonté, sensible à ma prière, Pour un fidèle amant oublie un mauvais frère

C'est peut-être un dessein mal ferme que le sien

Eh bien, ils se battront, puisque vous le voulez ; Mais Rodrigue ira-t-il si loin que vous allez ?

Quel intérêt Nous fait tous deux aînés quand et comme il vous plaît ?

Et son courroux mourant [de Pompée assassiné] fait un dernier effort Pour reprocher aux dieux sa défaite et sa mort

On demande que, neutre en ces dissensions, Je laisse aller le sort de vos deux nations

Parmi ce grand amour que j'avais pour Sévère

Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine, Combien en a versé la défaite d'Antoine !

Mais quelle occasion mène Évandre vers nous ?

Dans ces funestes lieux où la seule inclémence D'un rigoureux destin réduit mon innocence

Vous eussiez vu leurs yeux s'enflammer de fureur, Et dans un même instant, par un effet contraire, Leur front pâlir d'horreur et rougir de colère

D'ailleurs c'est l'ordre exprès de son père mourant

C'est devers vous qu'il penche

S'il précéda Philiste en vaines dignités, Philiste le devance en rares qualités