Citations sur piron

D'ailleurs ne dit-on pas : telles gens, tel patron ; Et dès que je le sers, peut-il être un poltron ?

Dans tout ce qu'il m'a dit, ce n'est qu'ambiguïté

Quelle égide opposer aux traits de la satire ?

Suis-je accusable encor du meurtre de Gustave ?

Je vous remets la foi que vous m'avez donnée

.... Un diable de neveu Me fait par ses écarts mourir à petit feu

Ton maître a galamment soutenu cette affaire

Mais apprenez de moi qu'un ouvrage d'éclat Anoblit aussi bien que le capitoulat

La pièce était vendue aux sifflets aguerris De tous les étourneaux des cafés de Paris

J'ai quelque affaire en tête, Qui de moi ne ferait chez vous qu'un trouble-fête

Connaissez-vous sur l'Hélicon L'une et l'autre Thalle ? L'une est chaussée, et l'autre non : Mais c'est la plus jolie

Tremblez, méchants ! la frocaille en tumulte Passait déjà de l'espoir à l'insulte

Tel est le coeur humain, surtout celui des femmes : Un ascendant mutin fait naître dans nos âmes, Pour ce qu'on nous permet, un dégoût triomphant, Et le goût le plus vif pour ce qu'on nous défend

Et si c'était un monstre ? - Oh ! tais-toi ; tu m'excèdes ; Les personnes d'esprit sont-elles jamais laides ?

Ou des auteurs sans nom grossir la foule obscure.... Le parodiste oisif et les forains t'attendent

Cette maison des champs me paraît un bon gîte ; Je voudrais bien ne pas en décamper si vite

Zoïle contre Homère en vain se déchaîna

Voilà tout bien appareillé, Le mousquetaire agenouillé, Et le malin corps en posture

.... Oh ! qui va rondement Ne daigne pas entrer en éclaircissement

Il vendit en cour Par un bon tour De gibecière Deux fois en un an De l'opium pour du nanan

.... La nouvelle en ce cas M'étonne bien un peu, mais ne me change pas

Par la mort de je ne sais qui, Vous n'étiez plus que neuf et trente ; Grâce à M. l'abbé Séguy, Messieurs, vous revoilà quarante

Ceux qui l'ont séparé d'avec son adversaire, Disent qu'il s'y prenait en brave cavalier

.... L'heure presse, et tous ont décampé, Comptant se retrouver ici pour le soupé

La quenouillée est d'un beau lin, Plus blanc que la neige et si fin Qu'à l'oeil il est imperceptible