Citations sur du ryer

Hé ! sire, abandonnez ce prince injurieux Qui nous traite en vassaux et vous brave à vos yeux

Ici l'enfant se meurt d'une mort triste et lente

On poursuit maintenant l'auteur de l'entreprise, Et nous serons tous deux satisfaits par sa prise

Par vos commandements J'ai tâché d'observer ses secrets sentiments

Lorsqu'à punir son peuple un monarque s'obstine....

Quoi ! l'on m'accusera sans respect de mon rang....

Chacun sollicité d'une noble colère....

Que vient de faire Horace ? Il vient de vous instruire Qu'il ne faut qu'un Romain pour défendre un empire

Alexandre disait que la bonne chère n'était point de saison, quand on avait de grandes affaires

Des ennemis la défaite et la fuite Semblaient nous donner Rome à l'extrême réduite

La déplorable Rome est-elle en liberté, Ou l'illustre Scévole est-il ressuscité ?

Alexandre disait que, pour faire un souper délicieux, il fallait faire un sobre dîné

Ce grand dessein, pour toi si dangereux, Sort d'un esprit jaloux plutôt que généreux

Où le fameux Horace Vient d'effacer l'éclat des héros de sa race

Dis-nous les compagnons de tes maudites trames

Enfin Horace seul est partout où l'on donne

Bien qu'à ce triste aspect ses chevaux pleins d'effroi Semblassent respecter le cadavre d'un roi

Alexandre disait que son gouverneur Léonidas lui avait enseigné que, pour dîner agréablement, il fallait se lever matin et se promener

Leur parle fortement, les conjure, les pique D'appuyer en tombant la fortune publique

Forçons, forçons enfin ces superbes murailles

Ce Romain a brûlé sa droite triomphante

À Porsenne, à ce roi l'honneur des souverains

Je tâche à le sauver ; dieux, n'y résistez pas

Redoute un ennemi qui te fait des largesses

Chacun tremble et frémit à ce spectacle horrible, Et celui qui pâtit paraît seul insensible