Citations sur mairet

Non, j'ai trop de frayeur et suis trop désolée Pour voir cette mortelle et douteuse mêlée

Vous possédez l'amour de quatre légions Qui vous peuvent donner autant de régions

Meurs, misérable prince, et d'une main hardie Ferme l'acte sanglant de cette tragédie

Malheur insigne

Et ce nouvel amour qui t'ôte la pitié Te pourra consoler de mon inimitié

Et vous et vos enfants, vos amis, votre époux, A l'abri du sénat aurez un sort plus doux

J'ai besoin d'un remède et non pas de censure

Tu veux rendre, Asdrubal, par une pure fable, Le coupable innocent et l'innocent coupable

Remets donc ton esprit de sa chute étourdi

....Mes lieutenants ont encor depuis peu Promené dans son camp et le fer et le feu

Recevez, s'il vous plaît, quelques rares joyaux

Corisbé, je vous prie, et vous aussi, Phénice, De me faire un plaisir avant que je finisse

Et la perte du temps ne se répare plus

Un jeune esprit facilement s'engage Par la douceur des yeux, du geste et du langage

Allons-nous-en d'ici, j'entends venir du monde

Donnez-moi ce breuvage, Par où j'éviterai la honte du servage

Rome l'ordonne ainsi de puissance absolue

Destin lamentable

Avant que le jour passe, On saura qui des deux doit régner sur la Thrace

On ne me verrait pas détruit comme je suis, Ni l'esprit aveuglé d'un nuage d'ennuis

Ayant vu ses soldats gisants sur la poussière

Adieu, vous voyez trop en mon visage blême Que m'arracher à vous c'est m'ôter à moi-même