Citations sur marg.

Et au partir, lui assignoit jour qu'il y devoit retourner, où, sans trop grandes excuses [motifs], n'avoit encore failli

J'espere que Dieu me donnera la grace de vous faire quelque service, au moins de ne rien gaster de la bonne ordre que jusques icy le roy de Navarre a tenue

Celles que forte amour a fait oublier [s'oublier]

J'ai prié le roy de Navarre, que l'on eslongnast de cette ville ceulx qui estoient au dit evesque

Le travail des grans journées d'Espagne m'estoit plus portable [supportable] que le repous de France, où la fantaisie me tourmente plus que la peine

Je me doubte d'estre au septiesme mois [de ma grossesse], qui y est, après l'huitiesme, le plus dangereux

Vous me ferez plaisir de me faire souvent savoir de vos nouvelles ; je feray revanche de vous despartir de celles d'icy

Et d'autant plus se declara après sa mort [d'un homme], qu'elle s'estoit dissimulée durant sa vie

Quant il demeure en ce païs, vous pouvez dormir en sureté, combien que l'on luy donne assez d'alarmes ; mais son bon sens prouvoit à tout

Il la cherissoit plus que de coutume et prenoit plus près garde sur elle

Il ne faut point craindre à scandaliser [déshonorer] ceux qui scandalisent les autres

Elle le vit contre une muraille blanche, où reverberoit la clarté de la chandelle

Vous savés combien vostre paine est necessaire aux affaires dont vous portés le faix, et où vos amis vous trouvent bien à dire

Mais allons vivement [marchons vite], afin qu'il ne nous trouve sur notre larcin

Bien que je sçay que ce qu'on estime bonnes nouvelles ne vous ont esté celées, si faut il que je vous die que....

Il la trouva encore en la chapelle, si desesperée, que, s'il lui eut esté licite de se rendre cordeliere, elle y fut demeurée

La medecine qu'elle lui bailloit pour amender sa douleur la lui rendoit beaucoup plus forte

Ce n'estoit qu'un coeur, une maison, un lit, une table et une bourse d'eux deux

Et trouva sa pauvre femme si bas qu'elle avoit plus besoin de confession que de medecin

Je ferois tort à l'affecsion que je vous porte, si....

On dit tant de bien de vostre justice que je ferois mal de le vous celer, saichant très bien que vous en donnés la gloire à celuy dont elle vient

Et pour cette raison, defendoient les Hebreux, que, l'année que l'homme seroit marié, n'allast point à la guerre

Elle respondit que la vie et la fin de cette fille monstroient que jamais n'avoit eu opinion [pensée] à homme vivant, qu'à celui qu'elle aimoit plus que sa vie....

Je vous supplie le croire de ce que je l'ay prié vous dire

Je me treuve maintenant plus saine et forte que je ne faisois par avant [ma fausse couche]