Citations sur marg.

Je ne crains vous recommander ung si homme de bien

J'espere, si le temps s'adoulcist ou qu'elle [la malade] fasse une pierre [un calcul], que ce sera la guerison

L'amour mal reconnu vous brusle

Si quelquefois elle daignoit en passant prendre son vin [se rafraîchir], elle nous feroit plaisir et honneur

Elle commença à lui dire tous les propos qu'elle pensoit dignes [capables] de le retirer du lieu où il estoit

Je voudrois savoir à qui mademoiselle Oisille donnera sa voix [passera la parole]. - Je la donne, dit-elle, à Simontault, lequel, je sais bien, n'epargnera personne

Je m'asseure que ne vouldriez permettre que telles traffiques eussent lieu envers le Roy

C'estoit un homme plein de mauvais vouloir, vu que, pour si peu d'occasion [chance de succès], il faisoit une si meschante entreprise

Cet homme est joyeux, cette personne est joyeuse, ces anciens termes ne sont plus en usage dans le beau style, il faut dire gai ou de belle humeur

Il n'y a creature en ce monde qui passe en l'amour et affection envers vous vostre.... etc.

Le meilleur des deux n'en vaut rien

Voyant cette fille assez belle, pour une claire brune

Sy les Basques estoient aussy bonnes gens, je suis seure que vous vous en contenteriés [que vous en seriez content]

Je ne vous en diray plus pour ceste heure, sinon que je prie nostre seigneur vous donner l'aise que vous desire vostre etc.

La beauté de la duchesse n'estoit que laideur et difformité au prix

Et quant à mon ventre, il ne fault point de grossir, et ne vous puis celer que je ne sente souvent bouger chouse qui a vie

Je pensoys aller digner à Amiens, mais me doubtant que j'y trouverois une poure maison bien desolée, je digneray icy

J'ai prié le roy de Navarre, que l'on eslongnast de cette ville ceulx qui estoient au dit evesque

Elle va feindre d'estre malade

Si vous avés envie que je vive, je vous prie, que je sache de vos nouvelles

Je vous prie bien affectueusement luy donner en son dict affaire le meilleur ayde que vous pourrez

Et neanmoins qu'il menast la vie que je vous dis, si estoit il prince craignant et aimant Dieu

Monseigneur, je n'estimerai jamais temps perdu, sinon celui où je ne vous pourray fere service

Je vouldroys qu'il venist chose à propos, où j'eusse povoir de me revencher de tant de plaisirs que chacun jour me faictes

Madame se trouva hier bien foible, jusques à presque esvanouir