Citations sur rotr.

Il n'est pas inouï qu'une femme se change ; Mais de ce changement le genre est bien étrange

César m'a commandé de me saisir de vous

Et mille observateurs que j'ai commis exprès

Mais tu portes le coup et tu ne parais pas

Las ! apprends en deux mots quelle crainte me presse

Ma bouche après mes yeux lui parla de ma peine ; Et, comme les regards, la parole fut vaine

Usez-en comme moi ; le ciel sait qui vit mieux

Qui souhaite la mort, craint peu, quoi qu'il avienne

De quelque étroit respect qu'un amour soit contraint, N'osant pas demander, pour le moins il se plaint

Tentons une autre fois la faveur de son eau

Jamais l'occasion.... Ne s'offre assez commode aux poltrons comme toi

Je serai, si je veux, l'argus de votre vie

Outre mon intérêt ma parole m'engage

S'il faut souffrir, mes yeux, un si sensible outrage, Qu'on m'ôte la puissance aussi bien que l'usage, Vous aurez moins de peine en cet aveuglement

Le prince : Faites observer qu'aucun ne nous écoute. - Théodore : Soignez-y, Léonore

Par ses soins tout nous rit, tout fleurit, tout succède

Je vais par un chemin d'épines et de flamme Te retenir un lieu digne de ta vertu

Et quand je crois jouir d'un reposapparent, La querelle d'autrui devient mon différend

J'ai, malgré leurs efforts, soumis à votre règne Ce que le Tibre lave et que le Gange baigne

Pesez bien les effets qui suivront mes paroles

Les cerfs sont étonnés d'y perdre leurs ombrages

Sort, voilà de tes jeux, et la roue a tourné

Si ce front n'est menteur, vous approuvez mon choix

Mais les songes suivis et dont, à tout propos, L'horreur se rencontrant interrompt le repos....

À tout prix un grand coeur achète un grand crédit, Et tout crime est permis lorsqu'il vous agrandit