Citations sur rotr.

Dieux ! et quel lui parut ce brasier dévorant ? - Ce que te paraîtrait un parterre odorant

Enfin tout n'est qu'horreur et que confusion, Et tout, Créon, et tout à votre occasion

Je dérobe au sommeil, image de la mort, Ce que je puis du temps qu'elle laisse à mon sort

Prince, l'espoir des bons et l'effroi des pervers

L'ordre de l'empereur n'admet ici personne, Et ma commission n'y souffre que nous deux

Allez et n'imputez cet excès d'indulgence Qu'au pouvoir absolu qui retient ma vengeance

Possédez le repos comme vous le donnez

Exécutez cet ordre et m'en rendez bon compte

Il sied mal de venger l'affront de Théodore à celle qui régit le couchant et l'aurore

La Parque qui tournait ce précieux fuseau

Je n'avancerais rien en vous contredisant ; J'ordonnais autrefois et je prie à présent

À quel étrange office, amour, me réduis-tu ? De faire accueil au vice et chasser la vertu ?

Au retour de la chasse, hier, assisté des miens

Chaque instant m'est un jour, tout objet m'est hideux

S'il vous souvient encor du combat où les Perses Eurent sitôt rompu les escadrons romains

Non, je ne puis souffrir, en quelque rang qu'il monte, L'ennemi de ma gloire et l'amant de ma honte

Ô triste labyrinthe et de peine et d'amour

J'ai vu couler leur sang sous les ongles de fer

Qui, tant que sa poursuite a cru m'avoir infâme, Ne m'a point souhaitée en qualité de femme

Deux de mes compagnons qui l'amènent ici Vous vont le présenter et l'étrangère aussi

Contre ces charges, prince, avez-vous des défenses ?

Ni le commun débris de toute la nature Ne m'étonnerait pas comme cette aventure

Cette raison du moins en mon mal me conforte, Que, s'il n'est supportable, il faudra qu'il m'emporte

J'eusse eu tort de tenter un espoir impossible

Nos deux frères sont morts, ma mère suit leurs pas, Et le ciel toutefois ne se satisfait pas