Citations sur rotr.

Le fer.... s'émousse s'il [Dieu] l'ordonne

Mais je crains de passer l'heure du rendez-vous

Entretenez d'encens cette sainte fumée

Jamais l'occasion.... Ne s'offre assez commode aux poltrons comme toi

Qui souhaite la mort, craint peu, quoi qu'il avienne

Leur feignant un secret que César m'a commis

Sire, à trop consulter, l'occasion se passe

Entrons et m'assistez d'une heure de conseil

.... mes desseins pour elle, aux vôtres préférés, Sont ces puissants respects à qui vous déférez

Les ravages d'un fleuve en son débordement

Et l'art imitant la nature Bâtit d'une même figure Notre bière et notre berceau

Comment, dis-je, mon père, accablé de tant d'âge, Ne se décharge-t-il, avant qu'y succomber, D'un pénible fardeau qui le fera tomber ?

Faites observer qu'aucun ne nous écoute

Quelque lieu d'où ton sang tire son origine, Tu dois être un rayon de l'essence divine

Genest, dont cette secte [le christianisme] aussi folle que vaine A si longtemps été la risée et la haine

Et quand je crois jouir d'un reposapparent, La querelle d'autrui devient mon différend

Or il est temps, ma soeur, de montrer qui nous sommes, Et qui peut plus sur nous, ou des dieux ou des hommes

Ce beau feu dont pour vous ce coeur est embrasé, Trouvera tout possible et l'impossible aisé

Et s'oser ingérer de faire grâce aux rois Est d'un sourd attentat les soumettre à ses lois

Mais combien mon esprit répugne à ce devoir !

Arrière tout respect, forçons toute contrainte, Sa menace accroît plus ma fureur que ma crainte

Belles actions, exploits Elle [mon amitié] est comme tes faits, sans borne et sans mesure

Tels que d'une mer agitée On voit les flots s'entre-suivants Se fuir après au gré des vents Et ne tenir jamais une assiette arrêtée

Je connais un vieillard dont les secrets divers Ont fait naître des fleurs au milieu des hivers

Et m'ouvrez un passage à l'empire des morts, Dérobant aux corbeaux le butin de mon corps