Citations sur rotr.

Sur tout autre toujours votre art me persécute ; Vous m'entreprenez seul ; seul je vous suis en butte

Je souffrirai la mort plus volontiers qu'un maître

J'ai des argus aux coteaux d'alentour Qui feront leur devoir d'y veiller nuit et jour

Rassemblée à ta voix, leur troupe auxiliaire Du Rhodope à l'Hémus fermera la barrière

Théodore commande et hait sans fondement

N'a-t-elle pas cent fois publié la louange De gens que leur mérite a tirés de la fange ?

Il sied mal de venger l'affront de Théodore à celle qui régit le couchant et l'aurore

Je sais qu'un fils qu'on perd afflige vivement

Les haches et les croix sont lasses de trépas

On enterrera vif qui l'enterrera mort [Polynice]

Le voici qu'à propos sans suite et sans défense Le sommeil m'abandonne et livre en ma puissance

Il n'est pas inouï qu'une femme se change ; Mais de ce changement le genre est bien étrange

L'honneur qu'on porte aux siens devient illégitime

Un nombre de corbeaux aussi funeste qu'elles A quelque temps après redoublé mon effroi

C'est lui qui du néant a tiré l'univers

Le parti du duc et de mon frère Dont l'un est votre coeur, si l'autre est votre bras

Nos deux frères sont morts, ma mère suit leurs pas, Et le ciel toutefois ne se satisfait pas

Je n'ai pas jugé qu'on lui pût sur l'État Imposer d'apparent ni croyable attentat

Ce monstre si cruel [l'Envie] sous un front si courtois N'a-t-il pas de l'accès en la maison des rois ?

Sans interruption de vos sacrés concerts, à son avénement [du martyr] tenez les cieux ouverts

Mais il lève déjà sa tête lourde et lasse

La mort les anime et les rend arrogants

Pour vous, ma chère soeur, sage et pieuse fille, Gloire du sang d'Oedipe, honneur de sa famille

Fumée obscure

Cette raison au moins en mon mal me conforte, Que, s'il n'est supportable, il faudra qu'il m'emporte