Citations sur rotr.

Mais tu portes le coup et tu ne parais pas

Le duc, pour récompense, a requis cette grâce

Madame, réprimez ces plaintes inutiles

Vous en prenez [des alarmes] sans doute un peu légèrement

Pesez bien les effets qui suivront mes paroles

.... Que vois-je, justes dieux ! Cette bague en son doigt déçoit-elle mes yeux ?

Mon gant vient à tomber, et pour le ramasser....

À cet objet d'horreur, l'oeil troublé, le teint blême, J'ai demeuré longtemps plus morte que lui-même

Je serai, si je veux, l'argus de votre vie

Laisse-moi de ce mot [billet] méditer la substance

Je me plains seulement de ce pays barbare Qui de six pieds de terre à son prince est avare

Épargnez-vous le blâme D'un coup peu convenable à la main d'une femme

.... L'un est votre coeur si l'autre est votre bras

Il a si loin d'ici sa valeur signalée, Que l'aigle pour le suivre a forcé sa volée

Et puis, qu'est un palais, qu'une maison pompeuse Qu'à notre ambition bâtit cette trompeuse [la Fortune] ?

En cette bague au moins reçois de mon honneur Et de ma passion un véritable gage

Possédez le repos comme vous le donnez

Ton bras peut-il manquer ce que ton coeur résout ?

Le temps m'a de l'esprit son portrait effacé

Un grand roi pèse tout d'un contre-poids égal, Rend le bien pour le bien et le mal pour le mal

....Je puis fermer par l'heur de ses exploits Le temple qu'un même heur n'a fermé qu'une fois

À tout prix un grand coeur achète un grand crédit, Et tout crime est permis lorsqu'il vous agrandit

Il défend d'inhumer le corps de Polynice, Et, déclarant ce prince ennemi de l'Etat, Condamne l'infracteur comme d'un attentat

S'il en est ainsi, tout ira de soi-même ; autrement, que d'embarras ! Proportionnez vos voeux à vos mérites, Autrement, au mépris et du trône et du jour, Dans votre infâme sang j'éteindrai votre amour

Un nombre de corbeaux aussi funeste qu'elles A quelque temps après redoublé mon effroi