Citations sur rotr.

Va, coeur efféminé, va, lâche, sors d'ici

[Qu'il] De sa rébellion reçoive le supplice

Il n'est tigre d'Asie, il n'est lion d'Afrique, Ni monstre si funeste et si fort à dompter

Quand lui, la face ouverte et nullement émue, Hardi, s'étant planté sur le bord de la tour

Avec le lait, pendante à la mamelle, Je suçai des chrétiens la créance et la foi

S'il faut souffrir, mes yeux, un si sensible outrage, Qu'on m'ôte la puissance aussi bien que l'usage, Vous aurez moins de peine en cet aveuglement

Beaucoup d'événements ont démenti leurs causes

Théodore commande et hait sans fondement

.... Que vois-je, justes dieux ! Cette bague en son doigt déçoit-elle mes yeux ?

[Il] Ne trouve armet si fort ni lame si bien jointe Qu'il ne fasse passage au fer qu'il a poussé

Il veut qu'en même jour le corps de mon époux Passe d'entre mes bras dans le ventre des loups

Avec un peu de peine on achète la gloire

La racine arrachée et les arbres détruits, Le cruel veut encore exterminer les fruits

Je cours au temple alors où la lampe allumée Jette, au lieu de lumière, une noire fumée

Ce que veut tout l'État se peut-il dénier ?

Un jour, gaie et l'esprit plus content que jaloux, Je suivais en Argos cet infidèle époux

Votre valeur enfin naguère si vantée Dans de folles amours languit comme enchantée

Leur obstination s'irrite par les peines

Il a servi l'empire et fut grand capitaine

N'a-t-elle pas cent fois publié la louange De gens que leur mérite a tirés de la fange ?

Or il est temps, ma soeur, de montrer qui nous sommes, Et qui peut plus sur nous, ou des dieux ou des hommes

Je mourrai plus que vous du coup qui vous tuera

Cette seule rebelle, entre tous mes sujets, Censure mes édits, attaque mes projets

La douleur extrême Que le fer imprimait en un endroit si pur [l'oeil]

Pour sauver du mépris ma constance abattue, Je ne puis exalter l'ennemi qui me tue