Citations sur rotr.

J'en parerai les coups du bouclier de la foi

Au retour de la chasse, hier, assisté des miens

La raison n'est pas mûre en si verte saison

Remplis, pour commencer, l'une de ces requêtes

Et qui gouverne Rome a conduit des troupeaux

Je souffrirai la mort plus volontiers qu'un maître

À qui dois-je le bien de m'avoir dénoncé ?

Il défend d'inhumer le corps de Polynice, Et, déclarant ce prince ennemi de l'Etat, Condamne l'infracteur comme d'un attentat

Intéresser l'État dans votre aversion

Ne m'en faites point craindre les conséquences

Ce beau feu dont pour vous mon coeur est embrasé Trouvera tout possible et l'impossible aisé

La douleur extrême Que le fer imprimait en un endroit si pur [l'oeil]

Hélas ! souhaitez-vous le débris de l'empire, Et, s'il se peut encor, quelque chose de pire ?

Arrière tout respect, forçons toute contrainte, Sa menace accroît plus ma fureur que ma crainte

.... mes desseins pour elle, aux vôtres préférés, Sont ces puissants respects à qui vous déférez

Et le monstre aussitôt blessé mortellement

Rassemblée à ta voix, leur troupe auxiliaire Du Rhodope à l'Hémus fermera la barrière

Dieux ! et quel lui parut ce brasier dévorant ? - Ce que te paraîtrait un parterre odorant

Parmi tous ces discours dépourvus d'apparence

Ils n'ont du mouvement ni des yeux que pour vous, Seul la butte, l'objet et l'estime de tous

Le prince : Faites observer qu'aucun ne nous écoute. - Théodore : Soignez-y, Léonore

Un songe interrompu, sans suite, obscur, confus

Je coulai mes avis dans ce libre murmure

Or il est temps, ma soeur, de montrer qui nous sommes, Et qui peut plus sur nous, ou des dieux ou des hommes

Tu désarmes ce bras avecque ta clémence