Citations sur l. rac.

Tout mortel en naissant apporte dans son coeur Une loi qui du crime y grave la terreur

Un ruisseau par son cours, le vent par son haleine, Peut à leurs faibles bras épargner tant de peines

Libre d'ambition, de soins débarrassé, Je me plais dans le rang où le ciel m'a placé

Mèdes, Assyriens, vous êtes disparus ; Parthes, Carthaginois, Romains, vous n'êtes plus

Prodigue de ses biens, un père plein d'amour....

Ils [les saints] sont ambitieux de plus nobles richesses

Ambitieux de vaincre et non de discourir

Dans ces rêves flatteurs que j'ai perdu de jours ! Cherchant à tout savoir et m'ignorant toujours

Lorsque les vents, méditant le ravage, Pour forcer leur prison réunissent leur rage

Tout était adoré dans le siècle païen ; Par un excès contraire on n'adore plus rien

Pour consoler l'espoir du laboureur avide

Exerçant l'un sur l'autre un mutuel empire, Par les mêmes liens l'un et l'autre s'attire

Je me crois des élus, je m'anime à les suivre

Tout esprit de parti doit céder au désir de s'instruire

Oui, c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire ; Mais, tout caché qu'il est, pour révéler sa gloire, Quels témoins éclatants devant moi rassemblés ! Répondez, cieux et mers, et vous, terre, parlez

Sans doute il est sacré, ce livre dont je voi Tant de prédictions s'accomplir devant moi

Tout empereur allemand appelé en Italie y est toujours mal reçu

Aucun physicien n'ignore que.... Aucun d'eux n'assouvit la soif qui me dévore

Tout bourgeois est soldat, tout Paris est en armes

Oui, grand Dieu, c'est en vain que l'humaine faiblesse Sans toi veut se parer du nom de la sagesse

Avant même que Rome eût gravé douze tables, Metius et Tarquin n'étaient pas moins coupables

Rien ne peut prospérer sur des terres ingrates

Triste jouet des vents, victime de leur rage, le pilote effrayé....

Tout était adoré dans le siècle païen

Si le ciel en mon choix eût mis ma destinée, Je n'irais point courir de bureaux en bureaux, Vérifiant journaux, bordereaux, comptereaux