Citations sur e. desch.

Princes, prelas grans et moyens, Maistres de la divine escole ; Clers, conseilliers, praticiens....

Tout n'est pas or ce qui reluit

.... Vieille contagieuse, Voulez-vous donc gouverner la contrée En beguinant, faire la precieuse Pour empescher toute vie amoureuse ?

Tendre vous fault la main aux sains ; Tendez. - Voulentiers, beau compains. - Or jurez le saint sacrement, Vostre foy, vo baptisement, Tous les sains et toutes les saintes, Sans penser à paroles faintes

Il n'a [n'y a] rien en mon fait qui loche

À nous te fault les armes rendre ; Ren toy, car tu es desconfis ; Dy le mot, plus ne puez [tu ne peux] attendre

Puis passeront Gauloys le bras marin ; Le poure Anglet destruiront si par guerre

Loyauté soit en vostre compaignie, Pitié aussi, et ne medittes mie

Prince, chascun doit en son josne aé [âge] Prandre le temps qui lui est destiné

S'il veut du dur, il a du moul [mou] ; S'il veut des pois, il a des choul

Adjoute icy qu'il convendra Que vendue du sien soit faite En plain marchié et pour sa debte Par cris et subhastacions

Amour, amour, humblement vous mercye, Et à tousjours vostre servant seray Pour vostre honneur, pour vostre courtoisie, Et pour les biens et doulz pensers que j'ay ; Ne jamais jour dieu terrien n'aray Fors vous tout seul où je vueil tout soufrir

Fortune ainsy des compaignons s'esbat, Qui au delit de la char les comprent, Puis les destruit con [comme] la souris le chat

À vuide main fait on le sourt, Nulz n'a ce qu'il a demandé, Qu'on ne lui die : ostende

Sur les petiz [il] fist la restrinction [économie] Qui monte à pou ; vez ci large ignorance : Es grans cas chiet [tombe] la bonne pourvoiance ; Plus despent loup que brebis ne oustarde

Il vit du labeur temporel

Que comme il ait votre pere servi Et vostre tante en Lombardie aussi

Sur tous les lieux plaisans et agreables Que l'en pourroit en ce monde trouver

Contre l'aigle trop ont cuer chault, Quant prandre voient leur poulaille à brehiers, à villenaille, à cosmarans qui se font baux [hardis] Pour l'aigle et ne sont que ribaux

Nuz [Dieu] les crea, et puis l'ame leur mist Ou chetif corps, sans faire difference

Se ilz sont bons ouvriers de leurs mestiers, il fault comprendre et avoir en ymagination de leur pensée toute la fourme et la perfection d'un chastel, d'une maison, d'un grant vaissel et des circonstances, avant qu'il soit commencé

Car telz gens [les hérauts] sont referendaire De dire le bien et non taire Ce qui leur a esté donné

Maintes gens ont esté peris Et suffoquez par trop soupper, Par trop boire et par trop laper D'hypocras, de viande et de vin

Et puis querez joustes et les bouhours, Gieux de palme....

Je [France], qui à toy suis par succession