Citations sur e. desch.

Venez à mon jubilé ; J'ay passé la cinquantaine ; Tout mon bon temps est allé ; Venez à mon jubilé

Prince qui veult que le bon temps reviengne, Les trois estas en bonnes meurs repringne

Par ceste exemple.... puet estre clerement entendue la forme et la taille d'un lay à tous ceulx qui les vourront faire

J'aim par amours la plus belle figure Que nulz homs puist de ses yeux regarder

Les interessés serviteurs Sont leurs hoirs et executeurs [des vieilles gens], Et les demainent durement

J'oy à douze ans grant ymaginative ; Jusqu'à trente ans je ne cessai d'apprendre

Planne d'acier dont on fait les cerceaux

Qu'ils soient restituteurs [qu'ils fassent restitution]

Femmes trouvay enmi ma voye, Dont l'une filloit sa coulongne, Et l'autre qui estoit yvrongne

Ore est li temps qu'on ne fait que mander [appeler les hommes au service militaire] ; Mais li mandez destruisent leur contrée, Prennent, pillent quan qu'ils peulent trouver

Force et povoir puist [qu'il puisse] avoir à son chois, Tant qu'apaisier puist son païs et terre

A quarante ans depuis ce me trouvay Nices et foulz, chetis, poures, dolens ; Tous esbahis, de mon cuidier plouray, Et commençay lors à estre acquerans

Lierres [voleur], par la vierge honourée, Vo gueule sera estranglée, Je vous livrerai au frapart [bourreau]

Les parens et amis sont mors, L'un par glaive, l'autre en vieillesce ; L'un par malage [maladie], l'autre en presse [bataille], L'un en bois et l'autre en riviere

Ainsi fine [finit] lors sa preface, Et fait son fil entendre et croire Que tout lui a dit chose voire [vraie]

....Bartolomieu, helas, Fu escorchiez ; de St Andrieu lisons Qu'en croix mouru ; decapitations Fu à Jacques....

Et aussi moins est femme en serre, Et moins est du mari guettée, Et tant sera meilleur trouvée, Que celle à la quelle on deffent D'aler au marchié où l'en vent

Je n'ai mais bon seneschaut, Ne pour moi louer herault

[L'aigle] D'autre aigle ne veult riens acquerre, Son nif ne son aire conquerre ; Il luy souffist qu'elle surmonte En son païs où elle terre [habite]

Li grant, li moyen, ly menour, Ne sont pas chascun à par soy, Mais sont conjoint en une amour

Je periray ; c'est ce pour quoi je crie, Quant nulz ne veut fors l'autre decevoir

Combien que pas ne se varie [pèche] Quant à Dieu cilz qui se marie

Quant vostre terre est endebtée, Qui ne restraint [économise], chose est prouvée Qu'on pert adonc le possessoire [la possession]

Et s'ilz veulent avoir marée, On en fait es halles livrée Pour l'argent trois fois la sepmaine

Et ains que li ans fust passez, De ces escuz que vous sçavez [rançon du roi Jean], En deut quatre cent mille avoir, Et ainsi, ce devez sçavoir, Chascun an jusqu'à fin de paye