L’amitié est un sentiment simple et naturel dans le cœur de l'homme, elle est le sentiment des ignorants tout aussi bien que des savants, et elle veut être définie, avant tout, avec simplicité : L'amitié, d'ailleurs, tout aussi bien que l’amour, est une émanation et comme un épanouissement de la bonté dans le cœur de l’homme. Encore une sélection de proverbes, dictons et citations sur l’amitié ?! On a déjà tant dit et tant écrit sur ce sujet ! Les sélections de dictons proverbes et citations sur l'amitié sont si nombreuses... Il est vrai qu’on a beaucoup discouru sur l'Amitié mais il ne nous reste presque rien de toutes les choses qu’on en a dites. On a beaucoup écrit sur le même sujet; oui, mais on l'a presque toujours fait incidemment et d’une manière tout à fait incomplète. C’est sur l’amour que l’on a composé des livres; mais cet amour, ce n’est pas l’amitié tel qu’on le considère, ce n’est plus qu’une passion. On dirait que l'amitié semble trop pure, au sensualisme de notre temps surtout, et qu’on a peur de la lui présenter dans toute sa simplicité.



Nous vous proposons ici une sélection de citations et proverbes sur l'amitié.
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Proverbe d'amitié


Proverbes amitié : 78 citations et proverbes sur l'amitié.


Il faut se défier d'un ami réconcilié. Les Espagnols disent — Ami réconcilié, ennemi redouble. — Il n'y a guère de réconciliation tout à fait sincère : la défiance ou la trahison s'y mêlent presque toujours. Asmodée, dans le Diable boiteux, parlant de sa dispute avec Paillardoc, dit avec autant de vérité que de finesse : On nous réconcilia, nous nous embrassâmes, et, depuis ce temps, nous sommes ennemis mortels. On conseillait à un tyran, Tibère, si je ne me trompe, de faire mourir un de ses anciens amis, qu'il faisait languir en prison : «Pas encore, répondit-il, je ne me suis pas réconcilié avec lui. » Mot affreux, où respire tout le génie de la haine.


A l'ami qui demande on ne dit pas : Demain. Ce proverbe est pris de celui-ci de Salomon : Ne dites pas à votre ami : Allez et revenez, je vous le donnerai demain, lorsque vous pouvez le lui donner à l'heure même. Différer d'assister un ami quand on le peut est une violation odieuse des devoirs de l'amitié; car, ainsi que l'a dit l'académicien Auger : « L'amitié véritable est un pacte en vertu duquel on doit tenir sans cesse sa fortune, sa vie même, à la libre disposition de celui à qui l'on s'est uni. »


Il n'est meilleur ami ni parent que soi-même. C'est un vers de la Fontaine fait avec un ancien proverbe qu'il a remplacé. Il figure dans la dernière fable du livre IV, l'Alouette et ses Petits, où il signifie que, pour se tirer d'affaire, il faut recourir à ses propres moyens, et ne pas compter sur l'aide des amis et des parents.
Notre erreur est extrême, Dit-il, de nous attendre à d'autres gens que nous : ll n'est meilleur ami ni parent que soi-même.

Ami de Platon, mais plus ami de la vérité. Amicus Plato, sed magis arnica veritas. C'est un mot d'Aristote en réponse à des critiques qui lui reprochaient d'attaquer quelques opinions de son maître Platon. Il s'applique à un homme éclairé qui ne soumet pas aveuglément son jugement à celui des personnes mêmes les plus recommandables, dont ordinairement il suit volontiers l'avis.


Il vaut mieux perdre un bon mot qu'un ami. C'est une leçon adressée aux malins railleurs qui, à l'exemple du poète dont parle Horace, se livrent à leur gaieté caustique sans épargner personne, pas même leur ami. Un proverbe espagnol, par une métaphore très remarquable, assimile à l'oiseau de proie l'homme qui fait de son ami la victime de ses cruelles railleries : Fi de l'ami qui couvre des ailes et déchire du bec ! Salomon a dit : Les hommes railleurs perdent la cité

Ce qui tombe en poche d'ami n'est pas perdu pour nous Cela se dit lorsqu'un bien qu'on espérait voir venir à soi arrive à quelque ami. Je ne sais si c'est pour exprimer une consolation sincère ou pour déguiser un regret égoïste que ce bien ait changé de direction. On peut admettre tantôt l'une et tantôt l'autre interprétation de ce proverbe, selon le caractère des gens qui l'emploient ou de ceux auxquels on l'applique. — S'il faut en croire la Rochefoucauld, le premier mouvement de joie que nous avons du bonheur de nos amis ne vient ni de la bonté de notre naturel, ni de l'amitié que nous avons pour eux : c'est l'effet de l'amour-propre qui nous flatte d'être heureux à notre tour, ou de retirer quelque utilité de leur bonne fortune. Il est bien sûr que l'amour-propre, c'est-à-dire l'amour de soi, comme l'entend la Rochefoucauld, est le principal mobile des sentiments et des actions de l'homme. Mais ici l'amour-propre n'agit pas seul. Il y a aussi l'influence de l'inclination que nous avons pour ceux avec qui nous vivons et pour tous les objets qui nous environnent, inclination toujours jointe avec les passions, comme l'a remarqué Malebranche, et je crois que les réflexions suivantes de ce philosophe offrent une explication plus exacte, surtout plus morale, du proverbe. Afin que l'amour naturel que nous avons pour nous-mêmes n'anéantisse pas et n'affaiblisse pas trop celui que nous avons pour les choses qui sont hors de nous, et qu'au contraire ces deux amours que Dieu met en nous s'entretiennent et se fortifient l'un l'autre, il nous a liés de telle manière avec tout ce qui nous environne,et principalement avec les êtres de même espèce que nous, que leurs maux nous affligent naturellement, que leur joie nous réjouit, et que leur grandeur, leur abaissement, leur diminution, semble augmenter ou diminuer notre être propre. Les nouvelles dignités de nos parents et de nos amis, les nouvelles acquisitions de ceux qui ont le plus de rapport à nous, semblent ajouter quelque chose à notre substance. Tenant à toutes ces choses, nous nous réjouissons de leur grandeur et de leur étendue.

A l'ami soigne le figuier, à l'ennemi soigne le pécher. Ce proverbe, rapporté sans aucune explication dans le recueil de Gomes de Trier, conseille allégoriquement de mettre en pratique la fausse doctrine énoncée dans le précédent, c'est-à-dire de bien haïr ses ennemis, afin de bien aimer ses amis, Le figuier y est considéré comme un emblème d'amitié, à cause de ses feuilles, qui couvrirent la nudité de nos premiers parents, et surtout à cause de son fruit employé, chez les peuples anciens, comme expression typique des vœux qu'ils formaient pour la prospérité des personnes chéries, et consacré, pour cette raison, aux étrennes du jour de l'an, dans le moyen âge, ainsi que dans l'antiquité. Le pêcher, au contraire, y figure comme un emblème de haine, par suite d'une vieille tradition, d'après laquelle les rois de Perse auraient fait transplanter cet arbre, originaire de leur pays, sur les terres des Égyptiens leurs ennemis, parce que les pèches, en Perse, avaient des propriétés malfaisantes qui les faisaient classer parmi les poisons. Pline le Naturaliste a parlé de cette tradition, qu'il jugeait erronée, dans le passage suivant de son Histoire naturelle. ll n'est pas vrai que la pomme persique soit un poison douloureux dans la Perse, ni que les rois de ce pays l'aient introduite, par vengeance, en Égypte, où la terre l'aurait bonifiée. Les auteurs exacts ont dit cela du perséa, qui diffère tout à fait du pêcher. » (liv. XV, c. xm.) Les Italiens ont le même proverbe qui doit se trouver dans le Jardin de récréation, etc., par Jean Florio (Giardino di recreazione, etc., da Giovanni Florio), dont le recueil de Gomes de Trier est une traduction. Il y a, en outre, chez les Piémontais, un autre proverbe analogue, que M. le docteur Silva a bien voulu me communiquer. Le voici avec la juste explication qu'il y a jointe : Dans le Piémont, on croit généralement que l'enveloppe de la figue est un poison, et que la pêche, fruit malsain, porte son contrepoison dans sa pellicule. De là le proverbe :  A l'ami on pèle la figue, et à l'ennemi la pêche. Aussi à la personne qu'on estime, et même dans les grands repas, la maîtresse de maison offret-elle parfois une figue dépouillée de son enveloppe. M. Silva pense que le proverbe français est fondé sur le même préjugé que celui des Piémontais, qu'il suppose antérieur, et j'avoue que, si cela était, j'en serais pour les frais d'érudition que j'ai faits dans mon commentaire. Mais je crois que c'est une conjecture que je puis me dispenser d'admettre, et que M. Silva n'aurait peut-être pas admise s'il avait connu le texte italien qui doit être cité par Florio. Ce texte, tel qu'il m'a été donné par le savant abbé Ciampi, porte pianta et non pela. Je dois conclure de cette différence notable que les deux proverbes n'étant pas les mêmes par l'expression ne le sont pas non plus par le sens. Je maintiens donc comme vraie l'origine que j'ai assignée à l'un, tout en adoptant l'explication que M. Silva a faite de l'autre.

Qui n'est pas grand ennemi n'est pas grand ami.
C'est-à-dire, celui qui n'est pas capable de bien haïr n'est pas capable de bien aimer ; celui qui ne peut mettre beaucoup d'ardeur à se venger de ses ennemis ne peut non plus en mettre beaucoup à servir ses amis. — L'auteur des Loisirs d'un ministre d'État (le marquis de Paulmy) désapprouve très-fort ce proverbe, qui mesure les degrés de l'amitié sur les degrés de la haine : Distinguons, dit-il, entre les excès dans lesquels les passions peuvent nous entraîner, et les suites d'une liaison sage et réfléchie. L'amitié ne doit être que de ce dernier genre. Si elle devenait une passion, elle cesserait d'être aussi estimable et aussi respectable qu'elle l'est; elle aurait tous les dangers de l'amour, qui fait faire autant de fautes que la haine et  la vengeance. Dieu nous garde de trop aimer aussi bien que de trop haïr! cependant il faut bien aimer jusqu'à un certain point. Le cœur de l'homme a besoin de ce sentiment, et ce sentiment fait du bien à notre esprit, quand il ne l'aveugle point ; mais la haine et le désir de la vengeance ne peuvent jamais que nous tourmenter ; on est heureux de ne point haïr; mais, en aimant d'une manière sensée, ne peut-on pas servir ardemment ses amis, mettre de la vivacité, de la suite, même de la ténacité dans les affaires qui les intéressent? Eh ! faut-il donc être cruel pour les uns parce que l'on est tendre pour les autres, persécuteur pour être serviable?Non. Pour moi, je déclare que je suis un faible ennemi, non-seulement en force mais en intention, quoique je sois ami très-zélé et très-essentiel, » Les observations qu'on vient do lire montrent fort bien que le proverbe n'est pas bon à pratiquer et ne s'accorde pas avec la morale qui prescrit de ne haïr personne; mais elles ne prouvent pas précisément qu'il soit contraire à la vérité, chose essentielle qu'elles n'auraient pas dû omettre. Nous avons donc à donner cette preuve, ; et, pour cela, il ne sera pas besoin d'une longue dissertation ; il suffira de citer cette judicieuse pensée de Sénac de Meilhan : On dit que ceux qui savent bien hair savent bien aimer, comme si ces deux sentiments avaient le même principe. L'affection part du cœur et la haine de l'amour-propre ou de l'intérêt blessé. » La conséquence rigoureuse que tout esprit logique doit tirer de là, c'est, contrairement au proverbe, que la haine qu'on a contre une personne ne produit pas nécessairement l'affection pour une autre.

Ami jusqu'aux autels. Proverbe que les Latins avaient emprunté aux Grecs pour signifier qu'on est disposé à tout faire pour ses amis, excepté ce qui est contraire à la religion età la conscience. Ce proverbe, rapporté par Plutarque est une réponse de Périclès à un de ses amis qui l'engageait à prêter un faux serment en sa faveur. Il est fondé sur l'antique usage de jurer la main posée sur un autel. François I" cri fit une noble application lorsque, en 1534, il écrivit au roi d'Angleterre Henri VIII, qui lui conseillait de se séparer de l'Église romaine, comme il venait de le faire : Je suis votre ami,mais jusqu'aux autels.


Un ami en amène un autre. Une personne invitée dans une maison y amène quelquefois une autre personne qu'on n'attendait pas, et la présentation se fait avec des excuses auxquelles on répond : un ami en amène un autre. Les Anglais disent : L'ami de mon ami est le bien venu. Les Italiens ont ce proverbe dérivé d'un usage ecclésiastique :  Tout prêtre peut amener un clerc.
Chez les Romains le convive amené à un festin par un invité s'appelait ombre, sans doute parce qu'il suivait son introducteur comme l'ombre suit le corps.


A nul n'est vrai ami qui de soi-même est ennemi. Celui qui est mauvais à soi-même ne doit être bon à personne. » (Ménandre.) Qui sibi amicus est scito hunc amicum omnibus esse. (Senec., Epist., M). « Sachez que celui qui est ami de soi-même l'est aussi de tous les autres. » — En effet, l'homme qui sait ce qu'il se doit à lui même sait aussi ce qu'il doit à ses semblables, et son attention consciencieuse à observer ses devoirs personnels est une garantie assurée de la bonne foi et de l'honnêteté qu'il apportera dans ses relations avec les autres. — Un philosophe chinois, Ma-Koang, a très-bien dit : « Avant de chercher à se faire des amis, il faut commencer à devenir le sien.


Qui est ami de tous ne l'est de personne. Il en est de l'amitié comme d'une essence précieuse qui perd sa vertu quand on la délaye dans une trop grande quantité d'eau. Ce sentiment n'a de force qu'autant qu'il reste concentré dans un couple d'êtres d'élite. S'il s'épanche sur beaucoup de gens, il s'amoindrit tellement qu'il n'en vient presque rien à personne. Pluralité d'amis, nullité d'amis.
« L'amitié, dit Plutarque, nous serre et nous unit; plusieurs amitiés nous séparent et nous distraient. « La pluralité d'amis convient à ceux qui veulent « user de leurs amis sans se soucier de les servir « réciproquement : ce qui vaut autant à dire qu'elle « convient à des gens qui ne savent ce que c'est qu'a« mitié. Ne touche point à plusieurs dans la main, « disait Pylhagorc ; c'est-à-dire ne fais pas beaucoup a d'amis... Qui a tant d'amis, certes assister à tous « il est du tout impossible, et ne gratifier à nul il «n'y aurait point d'apparence; et en gratifiant à « tous en offenser plusieurs, il serait aussi trop fâ« cheux. » (De la pluralité d'amis.)
A nul n'est vrai ami qui de soi-même est ennemi.


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Cicéron définit l’amitié comme étant l’accord parfait des choses divines et humaines dans la bienveillance et dans la charité. Il écrivait également
« Dans mes réflexions sur l’amitié, disait il, je me suis très-souvent demandé si c'est la faiblesse et l'indigence qui la font désirer, et si l’échange réciproque des avantages qu'on en peut retirer n'en serait pas comme le caractère propre. Mais non, certes; et il y a, dans la nature, une cause qui est tout à la fois plus ancienne et plus noble. C’est l’amour, d'où l'amitié tire son nom. qui est la principale cause de cette bienveillance dans laquelle se réunissent les cœurs. Il n'y a là rien qui se cache sous le masque de la dissimulation; et tout ce qui s’y trouve est volontaire et vrai. Ce n'est donc pas dans la faiblesse ni dans le besoin qu'il faut chercher la raison de l’amitié; c'est dans la nature. »


Explication et signification de plus de 78 proverbes, citations et dictons sur l'amitié



« Il y a, dans l’amitié, quelque chose de ce qui se trouve dans l'amour naturel des parents envers leurs enfants. Nous rencontrons une personne dont la nature et les mœurs s’accordent avec les nôtres; l’éclat de son mérite et de sa vertu nous frappe, et nous nous sentons porté naturellement à devenir son ami. Sans doute, nous sentirons le désir de profiter de son amitié, mais ce sera dans l'intérêt moral de notre vie; et, comme notre ami éprouvera, de son côté, un semblable désir, il s'établira entre nous une véritable égalité; et nous lutterons réciproquement et à l'envi pour devenir meilleurs. Si c'était, au contraire, l'intérêt matériel et personnel qui fût le principe de l'amitié, on la verrait nécessairement à la merci de ce principe, et elle s'évanouirait avec les raisons d'intérêt qui l'auraient fait naître. Mais comme c'est la nature qui est la base des véritables amitiés, et que la nature ne change pas,il s'en suit que ces amitiés sont éternelles comme leur principe. »







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« D'ailleurs, ajoutait Cicéron, c'est enlever à l'amitié tout ce qu'elle a de plus aimable que de lui donner l'intérêt pour principe. Ce ne sont certainement pas les avantages qu'on retire d'un ami qui font le charme de l'amitié, c'est l'affection de son cœur; et l'utilité est plutôt la conséquence de l'amitié qu'elle n'en est le principe. Donc, concluait Cicéron, avoir de l'amitié pour quelqu'un, c'est l'aimer pour lui-même et sans aucune recherche d'intérêt personnel »
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