Citation Je marche
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème Je marche.
120 citations
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
Mais, au final, ce que je peux constater, c'est que les centres spécialisés n'ont absolument pas une démarche visant à l'autonomisation et à l'intégration des personnes handicapées dans la société.
Je ne suis animé que par l'intérêt supérieur du pays. Aujourd'hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d'elle ; aussi j'ai décidé de ne pas être candidat à la présidentielle.
Je ne suis même pas sûr de savoir encore comment ça marche de faire sortir des notes de musique de mon corps, maintenant que j'ai un trou dedans.
Je ne sais où va mon chemin, Mais
Je marche mieux quand ma main serre la tienne.Et par contre, si je communique à mes hommes l’amour de la marche sur la mer, et que chacun d’eux soit ainsi en pente à cause d’un poids dans le cœur, alors tu les verras bientôt se diversifier selon leurs mille qualités particulières. Celui-là tissera des toiles, l’autre dans la forêt par l’éclair de sa hache couchera l’arbre. L’autre, encore, forgera des clous, et il en sera quelque part qui observeront les étoiles afin d’apprendre à gouverner. Et tous cependant ne seront qu’un.
L'ombre s'attache aux pas de qui marche au soleil:
qu'un nuage le masque, et l'ombre prend la fuite.
Je prie pour que cela puisse te sembler faux:
ce qui m'est arrivé me dit: c'est vérité.Le gros en moi, ça y est, je le vois : le gros, ce n'est pas le vainqueur des autres, mais le vainqueur de moi le gros c'est le meilleur de moi qui marche devant moi, qui me guide, m'inspire.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ça s’appelle la pensée magique. « Si je fais telle chose, telle autre arrivera », même s’il n’y a aucun lien entre les deux. « Si je marche sur une fente du trottoir, ma mère se fera mal au dos. » Ou si je passe sous une échelle, ou si je casse un miroir. On nous apprend très jeune à croire à la magie, puis nous passons le reste de notre vie à être punis pour ça .
Je connais une femme qui marche assez bien, mais qui boite dès qu'on la regarde.
À nouveau je marche, mes pieds sont ocrés de poussière, et les gens que je côtoie m'enveloppent, me portent, me bousculent sans me gêner, comme des vagues ; je marche, passive, ni gaie ni triste. L'ardeur du soleil s'emmagasine en moi, sans irradier encore : je remonterai bientôt vers les froidures, j'aurais besoin de mon stock.
Je n'ai plus rien à exposer
Dans la galerie des sentiments
Je laisse ma place aux nouveaux-nés
Sur le marché des morts-vivants.Mais je marche et je sais que tes mains me répondent
O femme dans le clair prétexte des bourgeons
Et que tu n'attends pas que les fibres se soudent
Pour amoureusement y graver nos prénoms.Il y a des choses qu'on n'a pas du tout envie de croire possibles. On les pousse tout au bout de son cerveau, dans un petit coin sombre où on ne les voit plus, comme on planque des trucs sous le lit dans sa chambre. Enfin, moi, c'est comme ça que je fais, et si ça marche avec les papiers de bonbons, ça peut marcher avec d'autres trucs.
Quant à moi, je marche parmi vous en Dieu incorruptible, affranchi de la mort à jamais.
Les super et hypermarchés demeurent une extension du domaine féminin, le prolongement de l'univers domestique dont elles assurent la bonne marche régulière, parcourant les rayons avec, en tête, tout ce qui manque dans les placards et le frigo, tout ce qu'elles doivent acheter pour répondre à la question réitérée, qu'est-ce-qu'on va manger ce soir, demain, la semaine entière. Elles, toujours plus détentrices que les hommes d'une compétence culinaire qui leur fait choisir sans hésiter les produits selon le plat à préparer, tandis qu'eux, plantés, perdus devant un rayon, appellent au secours, portable à l'oreille « Dis, qu'est-que je dois prendre comme farine ? »
Quelque chose semble me relier à ces explorateurs de la fin du xixe siècle, en quête d'un Nord magnétique et fragile, dont je ne distingue encore que les silhouettes mangées par la lumière. Il faut creuser à travers le minimum visible, faire de l'écriture un révélateur pour dévoiler peu à peu leurs visages, leurs espoirs, leurs amours et leurs mensonges, leur curiosité insatiable et leur amateurisme héroïque jusqu'à la poésie, il faut chercher les sensations communes, partager ce qui les maintient en vie, en faire des compagnons – peu à peu, des personnages. Du soleil de minuit à la complète nuit polaire, tenter d'éclairer l'énigme de leur disparition. En suivant leur marche sur la glace, on croise d'autres tentatives d'élargir le monde au risque de se faire avaler par ses marges. Leur parcours devient une ligne de faille dont partent des embranchements multiples, qui finiront par me mener jusqu'à l'archipel du Svalbard, au seuil de ce Grand Nord qui, lui aussi, s'évanouit.
L'argent ne fait pas le bonheur? Qui le fait donc, je vous le demande? Qui me donnerait cette démarche assurée, cette confiance, cette joie?
Et par contre, si je communique à mes hommes l’amour de la marche sur la mer, et que chacun d’eux soit ainsi en pente à cause d’un poids dans le cœur, alors tu les verras bientôt se diversifier selon leurs mille qualités particulières. Celui-là tissera des toiles, l’autre dans la forêt par l’éclair de sa hache couchera l’arbre. L’autre, encore, forgera des clous, et il en sera quelque part qui observeront les étoiles afin d’apprendre à gouverner. Et tous cependant ne seront qu’un. Créer le navire ce n’est point tisser les toiles, forger les clous, lire les astres, mais bien donner le goût de la mer qui est un, et à la lumière duquel il n’est plus rien qui soit contradictoire mais communauté dans l’amour.
Une manifestation soutenue par l'extrême droite, à laquelle participe un ministre de l'Intérieur, qui marche sur l'Assemblée nationale pour faire pression sur les députés en train d'examiner un texte de loi concernant la justice, c'est une image qui pour moi était assez glaçante et je ne souhaitais pas y participer.
Je pense que le lever du soleil quotidien est une sanctification de notre chance de vivre. Je vis tous les jours en me disant : tout bouge encore, tout marche aujourd'hui, pourvu que ça dure.
Je m'étais installé sous une porte cochère pour attendre que ça passe mais le temps est encore plus vieux que tout et il marche lentement.
Je suis criblé de cors; voyez:
Si je marche plus droit qu'un autre,
C'est que je boite des deux pieds.Quand un livre marche, je dis toujours que c'est grâce à moi. Quand il ne marche pas, je dis que c'est à cause de la traduction.
« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Plus forte que la maladie (2010) de Lucie Carrasco
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Discours, 1 décembre 2016. de François Hollande
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Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi (2005) de Mathias Malzieu
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A mon frère revenant d'Italie (1844) de Alfred de Musset
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Citadelle (1948) de Antoine de Saint-Exupéry
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Les Tristes, I, 9 de Ovide
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Le Sumo qui ne pouvait pas grossir (2009) de Eric-Emmanuel Schmitt
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le mois le plus cruel (2014) de Louise Penny
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Lettres persanes (1721) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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L'Astragale (1965) de Albertine Sarrazin
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Suppléments de mensonge (2011), Petit Matin, 4.10, heure d'été de Hubert-Félix Thiéfaine
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Hélène ou le règne végétal (1952) de René-Guy Cadou
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Ma mère, le crabe et moi (2015) de Anne Percin
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Purifications, 112, 4 de Empédocle
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Regarde les lumières mon amour (2014) de Annie Ernaux
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Un monde sans rivage (2019) de Hélène Gaudy
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Koenigsmark (1918) de Pierre Benoit
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Citadelle (1948) de Antoine de Saint-Exupéry
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Audrey Pulvar samedi 22 mai 2021 sur franceinfo de Audrey Pulvar
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Promenades en bord de mer et étonnements heureux (2016) de Olivier de Kersauson
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La vie devant soi (1975) (sous le pseudonyme d'Emile Ajar) de Romain Gary
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Chansons, le Roi boiteux (1870) de Gustave Nadaud
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Interview dans Métro, 1 mai 2007. de Harlan Coben
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