Citation Ne sait pas tout
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200 citations
Tout est écrit dans les sons. Le passé, le présent et le futur de l'homme. Un homme qui ne sait pas entendre ne peut écouter les conseils que la vie nous prodigue à chaque instant. Seul celui qui écoute le bruit du présent peut prendre la décision juste.
Dans ce village du Lot où il fait froid et beau, où un feu crépitait toute la nuit au pied de [mon] lit… Là-bas, tout me plaisait et tout me réchauffait l’âme. Je redécouvrais tout. Il n’y a pas d’âge pour réapprendre à vivre. On dirait qu’on ne fait que ça, toute sa vie.
S'il continuait à s'instruire, dévorant tout, le manque de méthode rendait l'assimilation très lente, une telle confusion se produisait, qu'il finissait par savoir des choses qu'il n'avait pas comprises.
On sait que deux virus ont fusionné : un virus humain et un virus de chauve-souris. À l’époque on a beaucoup écrit là-dessus, avant que tout le monde ne meure. Un médecin a déclaré dans un magazine que personne ne savait exactement comment cela avait commencé, mais il a proposé un scénario. Quelque part en Afrique tropicale, un homme dort sous un manguier. Ses défenses immunitaires sont affaiblies car il est séropositif et n’est pas soigné. Il a déjà un coronavirus dans le sang. Ce n’est pas étonnant, le virus à couronne est assez répandu. À l’époque précédant la Fièvre, on en connaissait au moins quatre qui étaient responsables de symptômes grippaux chez l’homme.
Je crois qu'on survit à tout. Je crois que la vie est plus forte. Je crois que le temps est assassin et balaye les visages du passé en emportant avec lui les épreuves qu'on pensait ne pas pouvoir surmonter.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.L'on se repent rarement de parler peu, très souvent de trop parler; maxime usée et triviale que tout le monde sait, et que tout le monde ne pratique pas.
Et ce qu'il y avait de grisant, c'était moins de faire à Marie une suggestion pratique qui ne pressait pas, que de lui verser, à cette minute, dans l'oreille, tout le sens moite et carressant d'un mot.
— Il a besoin de croire que le monde peut encore être sauvé !
Gabriel émet un rire sourd. « Ce monde, le mérite-t-il vraiment ? La dernière tentative avait été lancée par les diggers. Transcender le magma humain qui prolifère, dévore la nature, multiplie les guerres, se refait selon le même scénario : baffrer, tuer, jouir, se reproduire, polluer, mourir. Les diggers proposait une rupture. Une Alternaissance… — Les hommes ne cherchent pas une rupture, Gabriel ! Ils veulent juste consommer plus, placer leur progéniture plus près de la mangeoire et mourir plus tard ! — Les diggers leur proposait plus que ces « plus ». Ils leur offraient tout ! Venez voir la machine à produire ce tout… »Il est étrange que, parfaitement certains de la brièveté de la vie, nous prenions tant à coeur les intérêts qui s'y rapportent. Quelle est cette activité, ce mouvement, à l'entour de places et de richesses dont nous aurons si peu de temps à jouir ? Et ces pleurs sur des morts chéris que nous irons rejoindre demain ? L'homme sait tout cela, et cependant il s'agite, il s'inquiète, il s'afflige, comme si la fin de ces empressements et de ces larmes n'était pas prochaine, et nulle philosophie ne peut lui donner sur toutes choses l'indifférence qui convient à un condamné à mort sans espoir ni recours.
La relation humaine n'offre aucun mode d'emploi, on n'a pas de grille de lecture, on tâtonne, ce n'est parfois que du ressenti, on s'appuie sur le lien qu'on a été capable de créer, nos propres convictions, notre instinct - qui souvent nous trahit -, et on aura beau se fier à des éléments cohérents, chercher à tout maîtriser il y a toujours une part d'incertitude, une marge d'erreur quoi qu'on fasse, l'individu reste une énigme aux autres et à lui-même; on ne sait jamais qui on en face de soi.
Quand j'étais petite, tout en sachant que je finirais par grandir et avoir ma propre famille, ou du moins ma propre maison, je n'imaginais pas ma vie sans mes parents ni mes sœurs. Cela m'aurait paru aussi incongru que d'envisager mon avenir sans mes pieds ou sans mes mains. Nous étions là, ensemble, pour toujours. Et même s'il était clair pour chacun que le temps passait - mon père et ma mère, je le voyais bien, ne vivaient pas avec leurs propres parents - ce que nous formions tous les cinq avait quelque chose d'éternel.
Naturellement, personne ne portait d'étiquette à l'époque. On estimait que tout le monde était pareil. Et si ce n'était pas le cas, on ne disait rien, afin de ne blesser personne. Mais il n'y avait rien de mal à prévenir quelqu'un de sa vulnérabilité.
De nouveau nous conduisions la nuit des automobiles auxquelles il manquait toujours quelque chose pour être en règle. De nouveau nous transportions des substances illicites que nous devions désigner par des noms de code et, même si nous ne travaillions plus à la destruction de la société, nous pouvions persister dans l'illusion réconfortante qu'elle-même n'avait pas renoncé à nous détruire, puisque de nouveau il nous fallait craindre les barrages, éviter les contrôles, et mentir avec aplomb lorsque nous étions obligés de nous y soumettre. De nouveau nous étions unis par des liens de circonstance, à la fois artificiels et forts comme tous ceux qu'engendre l'illégalité. Et par surcroît, ce qui cimentait le groupe et le vouait à l'opprobre de la société procurait du plaisir, un plaisir qui remplissait le corps et l'esprit au point de ne laisser de place pour rien d'autre, un plaisir qui dispensait de tout commerce, y compris de l'usage de la parole : jusque-là, rien n'avait eu la force de me faire taire ainsi, même du dedans.
La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore?
En 1965, à l’Opéra de Paris, dans Norma, on ne voyait que Maria Callas. Je l’ai rencontrée onze ans plus tard, lors d’un dîner mondain. Nous ne nous sommes pas dit grand-chose, mais sa voix, tout à fait douce, un peu essoufflée, un peu perdue, m’a marquée. Son humilité était loin de la rumeur qui la faisait aboyer.
J'accepte le prix Nobel avec émotion, à la manière dont un enfant reçoit une récompense ; son contentement ne serait pas si grand s'il ne pensait pas avoir mérité celle-ci. Est-ce marquer beaucoup d'orgueil ? Je le pense tout simplement. Et que le jury qui me l'accorde, tout comme celui qui naguère me nommait docteur à Oxford, tient compte non seulement et non tant de mon œuvre littéraire que de l'esprit qui l'amine.
Le mariage permet de résoudre à deux les problèmes qu'on ne se posait pas tout seul.
La honte ne cessait pas de menacer les filles. Leur façon de s’habiller et de se maquiller, toujours guettée par le trop : court, long, décolleté, étroit, voyant, etc., la hauteur des talons, leurs fréquentations, leurs sorties et leurs rentrées à la maison, le fond de leur culotte chaque mois, tout d’elles était l’objet d’une surveillance généralisée de la société.
Outre son cruel manque d'imagination et son désintérêt pour la lecture, il ne maîtrisait pas du tout les techniques d'écriture. Un béotien qui maniait la syntaxe, la grammaire et l'orthographe avec autant de finesse qu'un maçon une truelle.
Elle arborait toujours une aiguille et un fil et ne s'endormait pas sans un nécessaire sous l'oreiller. Partout où elle allait, elle dévalisait les merceries.
Les écrivains sont dingues, tout le monde le sait. Et ceux qui ne sont pas publiés, ça doit être encore pire.
Tous les dimanches, Henri IV mettait la poule au pot et la partageait avec ses sujets... Sully lui disait : « Sire, il ne faut tout de même pas oublier que vos deux mamelles sont labourage et pâturage. »
J’ai fait la manche toute ma vie et je continue. ça ne me dérange pas de tout claquer à chaque fois. Mon père me disait toujours qu’arriver au ciel avec du pognon c’était le plus sûr moyen de s’attirer des ennuis là-haut, et je n’en veux pas.
L'ignorance d'un homme n'est pas seulement utile, mais belle aussi, tandis que son prétendu savoir se révèle souvent pire qu'utile en sus d'être laid. A quel homme vaut-il mieux avoir affaire, à celui qui ne sait rien sur un sujet et, ce qui est extrêmement rare, sait qu'il ne sait rien, ou bien celui qui sait vraiment quelque chose dans ce domaine, mais croit tout savoir ?
Le pèlerin de Compostelle de Paulo Coelho
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In Madame Sagan de Geneviève Moll (2005) de Françoise Sagan
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Germinal (1885), IV, III de Emile Zola
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L'Année du lion (2016) de Deon Meyer
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En l'absence des hommes (2001) de Philippe Besson
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Les Caractères (1696), XII, 149 de Jean de La Bruyère
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Les Hommes de bonne volonté (1932-1946) de Louis Farigoule, dit Jules Romains
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Au-delà des frontières (2019) de Andreï Makine
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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La décision (2022) de Karine Tuil
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L'éternel fiancé (2021) de Agnès Desarthe
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Sentiment 26 (2012) de Gemma Malley
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L'Organisation (2000) de Jean Rolin
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L'homme et la coquille de Paul Valéry
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Interview VSD, Laurence Durieu, le 02/09/2008 de Marie Laforêt
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Texte envoyé Le 13 novembre 1947 par Gide au jury du prix Nobel de André Gide
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Sans référence de Tristan Bernard
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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L'Encre et le sang (2013) de Laurent Scalese
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Le Divin Enfant (1992) de Pascal Bruckner
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Le Mystère Henri Pick (2016) de David Foenkinos
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L'Humour vert (sous le pseudonyme de Claude Sergent), Éditions Buchet-Chastel, (1964) de Claude Schnerb
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Interview par Philippe Dupuy, 19 septembre 2010, « Je veux sauver la planète », Corse Matin
de Robert Hossein
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De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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