Citation Tout ce que l on sait
Découvrez une citation Tout ce que l on sait - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Tout ce que l on sait issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Tout ce que l on sait.
140 citations
Ce qu'on disait autrefois de la France peut se dire aujourd'hui du monde entier: tout homme est un soldat. Que ceux dont le souffle puissant peut emplir un clairon nous mènent à la mêlée. Quel soldat s'arrêtera donc pour admirer le joueur de flûte pendant que la fusillade tonne et que ses compagnons d'armes montent à l'assaut ?
Personne ne sait jamais d'avance ce qu'est exactement l'amour, personne n'est même sûr qu'il existe ;
Mais quand il entre dans notre vie, que l'on ait vingt ans ou quatre-vingts, on le reconnaît tout de suite.L'ignorance d'un homme n'est pas seulement utile, mais belle aussi, tandis que son prétendu savoir se révèle souvent pire qu'utile en sus d'être laid. A quel homme vaut-il mieux avoir affaire, à celui qui ne sait rien sur un sujet et, ce qui est extrêmement rare, sait qu'il ne sait rien, ou bien celui qui sait vraiment quelque chose dans ce domaine, mais croit tout savoir ?
Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il fasse de la politique. Comme disait mon père: La politique, vraiment, n'était pas dans le contrat de mariage.
L'Eglise a toujours tout fait pour soigner son image de marque tapageuse parce qu'elle sait que seuls le ridicule, le tape-à-l'oeil, le clinquant et le mauvais goût séduisent les foules.
Regardez un peu les livres d'histoire. Vous verrez ce que ça veut dire, tous ces gens qui chérissent leurs maladies. Il y a seulement cinquante ans, les enfants exhibaient fièrement leurs genoux écorchés. Quand les adultes se cassaient la jambe, ils se dessinaient mutuellement des petits coeurs sur leurs plâtres. Tout le monde se plaignait de rhume des foins, de douleurs lombaires, de problèmes digestifs... mais, en fait, on ne voulait qu'une seule chose : éveiller une compassion injustifiée. Les bobos en tout genre passaient pour des sujets de conversation sérieux. Aller chez le médecin devenait un sport national. La maladie passait aux yeux des gens pour la preuve de leur existence, comme s'ils avaient été incapables de sentir leur corps tant qu'ils n'avaient mal nulle part.
Quand on sait que l'industrie alimentaire française utilise, bon an mal an, de 100 à 150 tonnes de colorants chimiques, il y a de quoi se demander si tout ce qui est appétissant est vraiment comestible.
Quand on lit un roman, on a l'impression de tout connaître d'avance, tout paraît si compréhensible, mais dès que l'on tombe amoureux soi-même, on s'aperçoit que personne ne sait rien et que chacun doit décider pour soi, tout seul...
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
Il eût de bon cœur interdit une fois pour toutes et partout ce qu'il appelait le patois créole (dont il usait abondamment dans son privé), persuadé que ledit patois constituait obstacle à un progrès dans la bonne voie.
Chaque fois que je fais de la musique, je pense à la pile de vinyles de ma mère : Jean Ferrat, Santana, Bob Marley, James Brown, Léo Ferré, Brel, Renaud et Joan Baez, bien sûr. Moi, j’étais fasciné par les rythmiques de la soul d’Hamilton Bohannon et James Brown. Le frère de ma mère, Marcel, était batteur dans un groupe de musique amateur qui jouait de la soul. Il m’a fait écouter Solomon Burke, Marvin Gaye et, surtout, Jimi Hendrix jouant à Woodstock l’hymne américain. Avec sa guitare, il réussissait à imiter le bruit des bombes qui s’abattaient sur le Vietnam. J’ai été foudroyé par ce morceau. L’art, pour moi, c’était ça. Puis, très vite, j’ai écouté du rap.
La seule simplicité qui importe est la simplicité du coeur. Si elle disparaissait, ce n'est pas une diète de navets ou un vêtement de « cellular » qui la ramènerait, ce sont les larmes, la terreur, les feux inextinguibles. Si elle nous reste, peu importe que quelques fauteuils de l'époque victorienne nous reste avec elle. Tant que la Société ne s'en prendra pas à ma vie spirituelle, je lui permettrai, avec une soumission relative, de traiter à sa fantaisie ma vie matérielle. Je mettrai l'humilité d'un coeur simple à fumer des cigares, à boire une bouteille de Bourgogne, à prendre un fiacre si toutefois par ces moyens je peux me conserver la virginité de l'esprit qui se réjouit dans l'étonnement et la crainte. Je ne prétends pas que ce soient les seuls moyens de la conserver. J'incline à penser qu'il en existe d'autres. Mais je ne veux rien avoir à faire avec une simplicité qui ignore la crainte, l'étonnement, et la joie tout ensemble. Je ne veux rien avoir à faire avec la vision diabolique d'un enfant trop simple pour aimer les jouets.
Le vent est un chat capricieux. Tantôt câlin, tantôt rebelle, il gémit, ronronne, râle, miaule, hurle sans que l'on sache toujours pourquoi. Le vent est fils de la volupté : il aime la chair. Sa main soyeuse nous effleure la peau, la caresse, s'attarde sur nos lèvres, nos paupières, nos narines, nos oreilles, dessine les contours de notre visage… Sa fraîcheur est celle d'un baiser. Mais comme tout amour passionné, son amour est destructeur : s'il vient à s'emporter, il ne se contrôle plus. Sa violence éclate. Il agresse ceux qu'il chérissait.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
A tous les commentaires désagréables sur la supposée indifférence des Parisiens, je n'oublie jamais d'opposer ce soutien indéfectible des habitués qui avaient accepté en connaissance de cause d'être plus ou moins bien traités selon l'humeur du marchand. Ce qui était une preuve de générosité mais aussi d'intérêt pour le curieux petit homme à la barbe roussie par le fourneau de sa pipe. Il ne ressemblait évidemment pas à l'idée qu'on se fait d'une vie rangée, surtout pour des gens dont on connaissait les allers et retours réglés comme du papier à musique encadrant une journée de bureau.
Les conseils d’usage, qu’un père donne à sa fille au moment du mariage et, par ricochet, à toutes les femmes présentes, on les connaissait déjà par cœur. Ils ne se résumaient qu’à une seule et unique recommandation : soyez soumises ! Accepter tout de nos époux. Il a toujours raison, il a tous les droits et nous, tous les devoirs. Si le mariage est une réussite, le mérite reviendra à notre obéissance, à notre bon caractère, à nos compromis ; si c’est un échec, ce sera de notre seule faute.
Un ami sage et fidèle est un secours et un appui continuel pour tout homme qui n'a pas la présomption de croire , qu'il sait tout, et que toute la sagesse humaine est dans sa tête. En un mot, le bon conseil est ce qui dirige toutes les affaires en les laissant marcher directement vers le but.
À l'époque la qualité humaine d'un homme, Howard, son caractère, son humour, sa gentillesse comptaient plus que la marchandise qu'il représentait ! On se sentait unis, tous on faisait des affaires entre nous, oui, mais avant tout on se parlait, on s'aimait. Aujourd'hui c'est fini, tout est froid, sec, dur, l'amitié, la confiance, la solidarité, on en veut plus en entendre parler, on en ricane même ! Quant à la personnalité humaine, on s'en fout, on crache dessus et on ne pense qu'à piétiner le copain, qu'à l'enfoncer plus bas que terre !
Halloween, c'est ma fête préférée. Plus même que Noël. Je me déguise. Je porte un masque. Je me promène partout comme tous les autres enfants, et personne ne me trouve bizarre. Personne ne me dévisage. Personne ne me remarque. Personne ne sait qui je suis. J'aimerais bien que ce soit tous les jours Halloween. On porterait tous des masques. Comme ça, on pourrait prendre le temps d'apprendre à se connaître avant de dévoiler nos visages
— Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : « Si tu peux, fais que ton âme arrive,
À force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier, est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. »Le TGI, c'était comme une église, mais sans le moindre dieu à l'horizon. On voulait vous faire croire qu'une instance supérieure, universelle, régnait ici, mais il ne s'agissait que d'hommes déguisés bricolant toute la sainte journée des sentences soi-disant objectives et des châtiments pseudo-équitables. Tout ça était bidon : l'exercice de la loi était toujours corrompu par les faiblesses et les erreurs humaines, celles-là mêmes qui étaient à la source des crimes jugés.
Mais moi, j'étais calme, planant en permanence à trois mètres au dessus de mon corps. Peut-être qu'avec moi n'était pas différent qu'être tout seul. Vous pouviez être aussi rustre que vous le vouliez, après. C'était sans doute ça qui plaisait en moi.
Qu'est-ce donc que ce théâtre dans lequel nous sommes tout à la fois dramaturge, acteur, machiniste, décorateur et public ? Faut-il, pour franchir les parvis du rêve, une somme plus ou moins grande d'entendement que celle dont on disposait au moment de se mettre au lit ?
Depuis la mode des voyages dans les lunes, tout le monde sait ce qu'est un compte à rebours. C'est le 5, 4, 3, 2, 1, 0, qui précède le départ des fusées. Je ne sais quoi (sûrement un mauvais ange) me souffle que ce compte qui tend vers zéro pourrait bien être la définition même du progrès. Je me garderai comme de la peste de dire du mal de cette divinité qui, dans les âmes simples, a remplacé Monseigneur Dupanloup et nous couvre de frigidaires, de transistors, de machines à laver et autres automobiles. Je ne me donnerai pas non plus le ridicule de prétendre à une âme compliquée. Je veux simplement faire état d'une constatation personnelle, très terre à terre, et à qui je dénie par avance toute valeur d'enseignement.

Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray
Références de Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray - Biographie de Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray
Plus sur cette citation >> Citation de Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray (n° 152948) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Francis Dannemark
Références de Francis Dannemark - Biographie de Francis Dannemark
Plus sur cette citation >> Citation de Francis Dannemark (n° 132756) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Henry David Thoreau
Références de Henry David Thoreau - Biographie de Henry David Thoreau
Plus sur cette citation >> Citation de Henry David Thoreau (n° 162789) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Bernadette Chirac
Références de Bernadette Chirac - Biographie de Bernadette Chirac
Plus sur cette citation >> Citation de Bernadette Chirac (n° 93835) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jacques Sternberg
Références de Jacques Sternberg - Biographie de Jacques Sternberg
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Sternberg (n° 11380) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Juli Zeh
Références de Juli Zeh - Biographie de Juli Zeh
Plus sur cette citation >> Citation de Juli Zeh (n° 173077) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Maurice Denuzière
Références de Maurice Denuzière - Biographie de Maurice Denuzière
Plus sur cette citation >> Citation de Maurice Denuzière (n° 120806) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Anton Tchekhov
Références de Anton Tchekhov - Biographie de Anton Tchekhov
Plus sur cette citation >> Citation de Anton Tchekhov (n° 136550) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 171278) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Sylvain Tesson
Références de Sylvain Tesson - Biographie de Sylvain Tesson
Plus sur cette citation >> Citation de Sylvain Tesson (n° 165840) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edouard Glissant
Références de Edouard Glissant - Biographie de Edouard Glissant
Plus sur cette citation >> Citation de Edouard Glissant (n° 162376) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Philippe Fragione, dit Akhenaton
Références de Philippe Fragione, dit Akhenaton - Biographie de Philippe Fragione, dit Akhenaton
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Fragione, dit Akhenaton (n° 172479) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Gilbert Keith Chesterton
Références de Gilbert Keith Chesterton - Biographie de Gilbert Keith Chesterton
Plus sur cette citation >> Citation de Gilbert Keith Chesterton (n° 158919) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alexandre Najjar
Références de Alexandre Najjar - Biographie de Alexandre Najjar
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Najjar (n° 165957) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jonathan Littell
Références de Jonathan Littell - Biographie de Jonathan Littell
Plus sur cette citation >> Citation de Jonathan Littell (n° 165127) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean Rouaud
Références de Jean Rouaud - Biographie de Jean Rouaud
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Rouaud (n° 163147) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Djaïli Amadou Amal
Références de Djaïli Amadou Amal - Biographie de Djaïli Amadou Amal
Plus sur cette citation >> Citation de Djaïli Amadou Amal (n° 170712) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Francis Bacon
Références de Francis Bacon - Biographie de Francis Bacon
Plus sur cette citation >> Citation de Francis Bacon (n° 153717) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Arthur Miller
Références de Arthur Miller - Biographie de Arthur Miller
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Miller (n° 167603) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Raquel Jaramillo Palacio
Références de Raquel Jaramillo Palacio - Biographie de Raquel Jaramillo Palacio
Plus sur cette citation >> Citation de Raquel Jaramillo Palacio (n° 157185) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 158154) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Christophe Grangé
Références de Jean-Christophe Grangé - Biographie de Jean-Christophe Grangé
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Christophe Grangé (n° 157463) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Laura Kasischke
Références de Laura Kasischke - Biographie de Laura Kasischke
Plus sur cette citation >> Citation de Laura Kasischke (n° 163876) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






W. G. Sebald
Références de W. G. Sebald - Biographie de W. G. Sebald
Plus sur cette citation >> Citation de W. G. Sebald (n° 164032) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giono (n° 157861) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
- Tabac - Tact - Talent - Tao - Tasse - Telephone - Telephone portable - Television - Temeraire - Temps - Tendresse - Tension - Tentation - Terre - Terrorisme - Theatre - Theme - Theologien - Therapie - Timidite - Timidité - Tissus - Titanic - Toilette - Tolerance - Tombe - Torture - Tourisme - Touriste - Tout l'amour - Tradition - Traduction - Trahison - Train - Traite - Transcendance - Transparence - Transport - Travail - Travailler - Trésor - Tricher - Triste - Tristesse - Tristesse - Tromper - Tuer - Tutoyer - Tyrannie
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Tout ce que l on sait
Toutes les citations sur Tout ce que l on sait Citations Tout ce que l on sait Citation Tout ce que l on sait et Proverbe Tout ce que l on sait Citation sur tout Citations courtes tout
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens