Citation tout ce que l on sait
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème tout ce que l on sait.
140 citations
A tous les commentaires désagréables sur la supposée indifférence des Parisiens, je n'oublie jamais d'opposer ce soutien indéfectible des habitués qui avaient accepté en connaissance de cause d'être plus ou moins bien traités selon l'humeur du marchand. Ce qui était une preuve de générosité mais aussi d'intérêt pour le curieux petit homme à la barbe roussie par le fourneau de sa pipe. Il ne ressemblait évidemment pas à l'idée qu'on se fait d'une vie rangée, surtout pour des gens dont on connaissait les allers et retours réglés comme du papier à musique encadrant une journée de bureau.
Tout malaise individuel se ramène, en dernière instance, à un malaise cosmogonique, chacune de nos sensations expiant ce forfait de la sensation primordiale, par quoi l'être se glissa hors d'on ne sait où...
En cette période de Noël, le spectacle perdait un peu en qualité parce que la cité croulait sous les décorations. Avec la pluie, les lumières se mettaient à dégouliner en rivières de réglisse colorées plutôt écoeurantes. Mais bon, c'était tout de même Paris qui vous bruissait aux oreilles, serpentait partout et vous réchauffait le coeur...
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
Quand j'étais petite, tout en sachant que je finirais par grandir et avoir ma propre famille, ou du moins ma propre maison, je n'imaginais pas ma vie sans mes parents ni mes sœurs. Cela m'aurait paru aussi incongru que d'envisager mon avenir sans mes pieds ou sans mes mains. Nous étions là, ensemble, pour toujours. Et même s'il était clair pour chacun que le temps passait - mon père et ma mère, je le voyais bien, ne vivaient pas avec leurs propres parents - ce que nous formions tous les cinq avait quelque chose d'éternel.
Et pourtant, rien n'était plus éloigné de son esprit que le miracle. Il pensait que tout n'est qu'un vaste miracle : et lorsqu'un homme sait cela, il en sait assez pour se conduire. Il savait, de science certaine, qu'il n'y a rien de grand, rien de petit en ce monde ; et nuit et jour il s'efforçait de démêler la voie qui, pénétrant au coeur mystérieux des choses, le ramènerait au point d'où son âme était partie.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
L'homme que j'aimais disait toujours : « Laisse-toi donc un peu aller, abandonne-toi, saute à l'eau...» Il avait raison. Tout me débecte. Si seulement je pouvais tuer cette Autre. Un jour, j'y arriverai (...). Mais j'ai besoin d'une force (...). Il faudrait que quelqu'un de plus fort que moi me prenne en main, me redresse, me détruise de fond en comble. Mais un tel homme existe-t-il ?
Mon amour imaginait des subterfuges pour se leurrer et se contenter, en fermant volontairement les yeux, de liens d'affection qui traînent après tout amour brisé. On attend encore une lettre ; on espère dans une visite retrouver une illusion d'autrefois ; le coeur bat quand la porte s'ouvre ; la poignée de main produit l'émotion du baiser ancien ; on conserve soigneusement une rose apportée ; un compliment banal paraît un regret. Puis l'enchantement s'en va, et l'on sait très bien que tout cela est faux. Ce sont des lianes souples qui s'agrippent, retiennent dans un passé évanoui et laissent sans force pour agir et vivre.
Vous connaissez les heurs et malheurs de ma vie depuis ma jeunesse, du moins jusqu'au changement qui m'amena à Cöthen où je trouvai un Prince gracieux, aimant la musique aussi bien qu'il la connaissait et auprès duquel je croyais d'ailleurs pouvoir terminer ma vie. Le destin voulut cependant que ce Prince épousât une Princesse de Berenburg, et tout parut alors manifester que l'inclination du Prince pour la musique devenait de plus en plus tiède, d'autant plus que la nouvelle Princesse semblait être une amusa
Son père commençait beaucoup de choses, mais allait rarement au bout de quoi que ce soit. Il suffisait d’une broutille pour le distraire de sa lubie du moment, qui repassait aussitôt tout en bas de la liste de ses priorités.
Mais comment on apprend à aimer ? Tu le sais, toi ? Tout le monde en parle, mais personne ne sait ce que c'est. Tu répètes tout le temps qu'il faut aimer, aimer, mais où ça s'apprend ?
J'ai appris que pour être prophète il suffisait d'être pessimiste, puisque chaque question se résout toujours dans le sens le plus tragique. Je finirai par m'attendre à ce que tout ce que je crains arrive, irrémédiablement. C'est ça, le pessimisme.
Dans ce siècle où tout se renouvelle, je ne sais pas de transformation plus importante que celle qui touche aux rapports des pères et des enfants dans la société moderne. Les enfants occupent aujourd'hui une place beaucoup plus grande dans la famille : on vit plus avec eux, on vit plus pour eux : soit redoublement de prévoyance et de tendresse, soit faiblesse et relâchement d'autorité, on s'occupe plus de leur santé, on surveille plus leur éducation, on songe plus à leur bien-être, on écoute plus leur opinion. Ils sont presque devenus les personnages principaux de la maison ; et un homme d'esprit caractérisait ce fait par un seul mot ; il disait : Messieurs les enfants !
On s’engage un jour dans un chemin qui fait de vous une certaine femme. Un autre chemin vous aurait conduite ailleurs et aurait fait de vous une tout autre femme. Elle croyait avoir oublié – ou du moins, presque oublié – que la vie aurait pu être différente. Dieu seul sait les efforts qu’elle avait faits en ce sens.
J’aime l’escrime, d’abord à titre de Français, parce que c’est un art national, un fruit du pays comme la conversation. Qu’est-ce que faire des armes ? c’est causer ! Car qu’est-ce que causer ? n’est-ce pas parer, riposter, attaquer, toucher surtout, si l’on peut, et Dieu sait qu’à ce jeu-là, la langue vaut bien le fleuret.
Je suis, en fait, un hérétique qui a renié son hérésie, et qui, aux yeux de tous, a sauvé son âme. Mais il y a quelqu'un qui sait très bien, au fond de lui-même, que tout ce qu'il a sauvé, c'est sa peau.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Tout ce que faisait Louis XIV était exemplaire, même sa mort. Louis XV s'est rattrapé de justesse. Mais chez Louis XIV il n'y eut pas la moindre faiblesse. Tout en lui était admirable et son agonie est un sommet.
Un ministre doit voir tout à la fois, et sans succession, pour marquer son élévation, autrement il fait mal tout ce qu'il fait, puisqu'il oublie ce qu'il a fait quand il a beaucoup de choses à faire, outre que quand il agit il ne sait ce qu'il fait, ni s'il fait bien.
Halloween, c'est ma fête préférée. Plus même que Noël. Je me déguise. Je porte un masque. Je me promène partout comme tous les autres enfants, et personne ne me trouve bizarre. Personne ne me dévisage. Personne ne me remarque. Personne ne sait qui je suis. J'aimerais bien que ce soit tous les jours Halloween. On porterait tous des masques. Comme ça, on pourrait prendre le temps d'apprendre à se connaître avant de dévoiler nos visages
Un ami sage et fidèle est un secours et un appui continuel pour tout homme qui n'a pas la présomption de croire , qu'il sait tout, et que toute la sagesse humaine est dans sa tête. En un mot, le bon conseil est ce qui dirige toutes les affaires en les laissant marcher directement vers le but.
Vous les voyez, Monsieur ? Tous les onze, de gauche à droite : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Invariables et droits. Les commissaires. Le grand comité de la grande Terreur. Quatre mètres virgule trente sur trois, un peu moins de trois. Le tableau de ventôse. Le tableau si improbable, qui avait tout pour ne pas être, qui aurait si bien pu, dû ne pas être, que planté devant on se prend à frémir qu'il n'eût pas été, on mesure la chance extraordinaire de l'Histoire et celle de Corentin. On frémit comme si on était soi-même dans la poche de la chance. Le tableau – peint de la main de la Providence, ainsi qu'on aurait dit cent ans plus tôt, ainsi que Robespierre le disait encore chez la mère Duplay comme s'il eût été dans Port-Royal.
Mon père avait beau être un scientifique, il s’intéressait à tout ce qui « dépasse l’entendement ». Il était à l’origine de quelques-unes des poursuites de l’impossible les plus ridicules du monde et s’emballait sur les enjeux de l’éventuelle existence de la fontaine de Jouvence ou de grottes aux pouvoirs de guérison miraculeux, ou sur la découverte d’anciennes créatures toujours vivantes qui détiendraient la clé du secret de la vie éternelle.
Kiosque (2019) de Jean Rouaud
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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La terre des morts de Jean-Christophe Grangé
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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L'éternel fiancé (2021) de Agnès Desarthe
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Le second livre de la jungle (1895) de Rudyard Kipling
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La Traversée de l'été (2005) de Truman Capote
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Romy Schneider intime, d'Alice Schwarzer (2018) de Romy Schneider
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Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
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Lettre du 28 octobre 1730 à son ami Erdmann de Jean-Sébastien Bach
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Les cicatrices (2020) de Claire Favan
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La valse lente des tortues (2008) de Katherine Pancol
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Mille regrets (1942) de Elsa Triolet
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Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
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Tous les fleuves vont à la mer (1978) de Belva Plain
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Soixante ans de souvenirs (1884) de Ernest Legouvé
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Traité du zen et de l'entretien des motocyclettes (1974) de Robert Maynard Pirsig
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Les Adieux à la Reine (2002) de Chantal Thomas
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Le ministre d'État par maximes de Vauban
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Wonder (2012) de Raquel Jaramillo Palacio
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Essais , XXVII. De l'amitié de Francis Bacon
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Les Onze (2009) de Pierre Michon
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Élixir (2010) de Hilary Duff
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