Citation mon lit
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Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème mon lit.
80 citations
Je ne demande rien à la foule qui passe, - Il faut au coeur blessé peu de bruit, - Et de mon lit profond d'où nul sanglot ne sort, - Je me console enfin dans les bras de la mort.
Les traversins de crin, durs comme des bûches, servaient de projectiles. Pour moi, qui m'étais obstiné à garder mon lit, je ne veux point cacher que je reçus quelques éclaboussures de la bataille.
Qu'est-ce qu'ils ont à pleurer autour de mon lit... C'est déjà bien assez triste de mourir... S'il faut encore voir pleurer les autres!
Quand par hasard dans mon lit je te rencontre
On n'peut pas dire que tu sois pour ni qu'tu sois contreJe viens de faire l'aumône. En donnant deux sous, j'ai goûté la joie honteuse d'humilier mon semblable ...
Je me suis humilié en l'humiliant. Car l'aumône avilit également celui qui la reçoit et celui qui la fait.Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
Tout est affaire de décor
Changer de lit changer de corps
A quoi bon puisque c'est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m'éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j'ai cru trouver un pays.Le jour du quatorze juillet - Je reste dans mon lit douillet - La musique qui marche au pas - Cela ne me regarde pas.
En sa présence, j'avais autrefois demandé la permission de lire Madame Bovary et ma mère avais pris de sa voix trop musicale: Mais si mon petit chéri lit ce genre de livre à son âge, qu'est-ce qu'il fera quand il sera grand?
Je les vivrai!Viens, mon George. Ah ! les fils de nos fils nous enchantent
Nous nous retrouvons doux, naïfs, heureux de rien ;
Le coeur serein s'emplit d'un vague aérien ;
En les voyant on croit se voir soi-même éclore ;
Oui, devenir aïeul, c'est rentrer dans l'aurore.Je reprends ce cahier après une crise qui m'a tenu près d'un mois sous votre coupe. Dès que la maladie me désarme, le cercle de famille se resserre autour de mon lit.
Ah ! Quel beau tapage.
Je ne dors plus la nuit.
Je me remue dans mon lit
Et je rêve, c'est inouï,
Que je suis un oiseau de Paris.Pour un peu d'affection, je partagerais ce que je possède : l'argent de ma pension, mon lit. Je serais si délicat avec la personne qui me témoignerait de l'amitié. Jamais je ne la contrarierais. Tous ses désirs seraient les miens. Comme un chien, je la suivrais partout. Elle n'aurait qu'à dire une plaisanterie, je rirais ; on l'attristerait, je pleurerais.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Souvent, je m’étends sur mon lit, et je m’efforce de fixer mon esprit sur un souvenir, un événement précis de ma vie. Mais bientôt d’autres pensées m’assaillent, venues je ne sais d’où, et me voilà si loin de ma pensée première. Je rêvasse. Presque incapable de suivre avec force et longuement une pensée. Cela est commun, et banal, sans doute. Décourageant. Je ne puis lutter avec succès que si j’écris. Du reste, j’aime assez cette « rêvasserie ». Bien qu’elle dévore des heures que je pourrais consacrer à l’étude, à la lecture.
Quand je serai vieille, je m'allongerai sur mon lit ou me calerai les reins dans un fauteuil et j'écouterai la musique que j'écoute aujourd'hui, celle qui passe à la radio ou dans les boîtes de nuit. Je fermerai les yeux pour retrouver la sensation de mon corps en train de danser. Mon corps délié, souple, obéissant, mon corps au milieu des autres corps, mon corps affranchi de tout regard, quand je danse seule au milieu de mon salon. Quand je serai vieille, je passerai des heures ainsi, attentive à chaque son, à chaque note, à chaque impulsion. Oui, je fermerai les yeux et je me projetterai mentalement dans la danse, dans la transe, je retrouverai un à un les mouvements, les ruptures, et mon corps épousera de nouveau le rythme, la mesure, au plus près de sa pulsation. Quand je serai vieille, si je le suis un jour, il me restera ça. Le souvenir de la danse, les basses qui cognent dans le ventre, et l'ondulation de mes hanches
L'angoisse et le désespoir, en moi, n'ont plus de cesse. On dirait un volcan qui explose en moi et ne pourra s'éteindre tant que je vivrai. La nuit, quand je ne peux dormir et que, baigné de sueur, gémissant et hurlant je me débats dans mon lit, quand je cours en rond dans mon appartement en criant comme un fou et que j'insulte les murs de ma chambre, alors ce volcan est en éruption.
Eh! qu'as-tu? Elle pâlit, elle tombe, au secours! Mais je suis dans un désert! O mon Dieu! son coeur ne bat plus. Elle est morte! Est-ce possible? Encore une victime du Père Ubu.
L'absence. Le lit comme un désert. J'ai mesuré la durée de mon sommeil à l'étendue qui nous sépare.
Vous m'écrivez, mon cher et grand philosophe, de votre lit où vous voyez dix lieues de lac, et moi je vous réponds de mon trou où je vois le ciel long de trois aunes.
Je tiens beaucoup à ma montre, c'est mon grand-père qui me l'a vendue sur son lit de mort.
En parlant de solitude, j'ai oublié d'évoquer une créature : mon petit chat. Nous nous sommes beaucoup attachés l'un à l'autre. Il vient de sauter de mon épaule où il avait dormi tranquillement. Il est discipliné, tendre, espiègle, il sait quand je m'apprête à manger, il s'approche et commence à griffer mes bandes molletières. Une fois il est sorti par la porte ouverte, je l'ai longtemps cherché mais il est revenu de lui-même. Cela peut paraître étrange, mais de petit être gris apaise ma tristesse même si, en jouant, il mélange mes papiers ou salit ma table avec ses pattes sales
Tous les vivants sont dans mon coeur. L'auberge est vaste. Il y a même un lit et un repas chaud pour les criminels et les fous.
Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore?
Je sens l'air embaumé courir autour de toi;
Ta bouche est une fleur dont le parfum dévore:
Approche, ô mon trésor, et ne brûle que moi. Eveille, éveille-toi!Un grand sommeil m'engourdit depuis mon lever jusqu'au soir ... lentement je perds l'habitude de l'effort ... tout s'amollit dans cette facilité de l'existence.
Sur le portrait de David d'Angers. de Marceline Desbordes-Valmore
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Mes Prisons de Gérard de Nerval
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César (1946), Panisse de Marcel Pagnol
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Paroles de Indifférente de Serge Gainsbourg
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Monsieur Bergeret à Paris (1901), XVII de Anatole France
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Est-ce ainsi que les hommes vivent de Louis Aragon
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La Mauvaise Réputation (1953) de Georges Brassens
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Les Mots (1964) de Jean-Paul Sartre
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L'autre de Victor Hugo
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Le Noeud de vipères (1932) de François Mauriac
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Les oiseaux de Paris de Charles Trenet
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Mes amis (1924) de Emmanuel Bove
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Batouala (1921) de René Maran
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Journal intime, 1928-1936, (1989) de Eugène Dabit
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Les gratitudes de Delphine de Vigan
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Mars (1977) de Fritz Zorn
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Ubu roi (1888), II, 5, Bougrelas de Alfred Jarry
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L'Etat du ciel (2013) de Pierre Péju
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Lettre à Voltaire, 8 février 1757 de Jean le Rond d'Alembert
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Sans référence de Woody Allen
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Le météorologue (2014) de Olivier Rolin
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Un assassin blanc comme neige (2011) de Christian Bobin
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Poésies (1830), Romances, Le Réveil de Marceline Desbordes-Valmore
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Journal, 1er septembre 1905 de André Gide
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