Citation on a tous en nous
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème on a tous en nous.
210 citations
Une conviction, une intuition, une illusion - quelle est la différence quand on peut mettre cela en question ? T'est-il jamais venu à l'esprit que si nous suivions tous nos intuitions le monde tomberait dans le chaos ?
La vie est une histoire de perte, disait souvent ma mère en fumant sous la bouche d'aération. La perte de cette innocence infantile avec laquelle nous naissons tous, la perte des gens que nous aimons, de notre santé, de nos capacités physiques, et enfin - évidemment - la perte de notre propre vie. Comme d'habitude, ma mère avait raison.
Le suicide n'est pas une preuve de courage, mais d'abandon. Des erreurs, des fautes, nous en commettons tous. La force d'un homme ne se mesure pas au nombre de coups qu'il peut donner.
Le laboureur m'a dit en songe: Fais ton pain, - Je ne te nourris plus, gratte la terre et sème. - ... - Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes - Nul ne peut se vanter de se passer des hommes; - Et depuis ce jour-là, je les ai tous aimés.
Elle m'a dit: - «Quand tu sera vieux (quatre-vingt-cinq ans), on ira tout le temps en avion tous les deux pour que nous ne manquions pas l'occasion de mourir ensemble.»
Si nous ne nous conduisons pas tout à fait bien, c'est parce qu'il nous reste, à tous, une vague petite notion de devoir au fond de notre désordre qui fait que nous n'avons pas le courage de nous conduire tout à fait mal.
Depuis vendredi 13 mars, je suis à la campagne, dans la maison où je passe tous mes week-ends depuis des années. Pour éviter que mes enfants côtoient ma mère, il a fallu trouver une solution. Nous nous sommes séparés, sans savoir dans combien de temps nous nous reverrions. Ma mère est restée à Paris et nous sommes partis. D’habitude, nous remballons le dimanche soir. Les enfants pleurent, ils ne veulent pas que le week-end se finisse. Nous les portons, endormis, dans la cage d’escalier de notre immeuble. Mais ce dimanche, nous ne sommes pas rentrés. La France est confinée et nous restons ici.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
N'oubliez pas que les pandémies se perdent dans l'histoire, c'est ce qui les rend d'autant plus dangereuses. On se souvient tous du virus tueur de la grippe espagnole, mais qui est au courant de la pandémie asiatique de 1957, qui fit plus de trois millions de morts ? Et celle de Hongkong, en 1968, qui tua deux millions de personnes ? Ces pandémies laissent le paysage intact mais si on les laisse faire, elles sont capables d'anéantir une société. C'est comme balancer un insecticide dans une fourmilière. C'est ce que nous devons, tous, à tout prix éviter.
La semaine prochaine, nous commencerons à étudier en parallèle 3 livres : Madame Bovary, Anna Karenine et Effi Briest. 3 romans publiés entre 1857 et 1894 qui ont fixé la forme romanesque. Y aurait-il par miracle quelqu'un ici qui les aurait lus tous les 3 ? Cet oiseau rare existe-t-il ? Non ?
Les faits historiques se succèdent, qui non seulement se contredisent, mais s'annulent. Rien n'est « irréversible » (comme on dit maintenant), au contraire, tout se renverse, et nous avons des milliers de preuves : un excès de science conduit à l'ignorance crasse, et c'est la curiosité de l'ignorance qui récrée la science ; des sociétés marxistes ont existé dix mille ans avant Marx, pour se transformer en régimes aristocratiques, suivant un processus révolutionnaire inverse à celui qui a l'air de vouloir occuper aujourd'hui notre besoin de mouvement ; des empires sont devenus des républiques, et vice versa ; des royaumes se sont anarchiquement balkanisés, pendant que des nomades se coagulaient en empire, pour devenir ensuite socialistes, après être passés par tous les stades et avant de repasser par tous les stades. Rien ne dure. l'histoire n'est que le catalogue des inconstances de fortune. Rien ne durera de ce que nous fabriquons aujourd'hui. L'extrême pointe de l'avenir nous pique les fesses et nous croyons que c'est le passé.
Personne ne peut se renier. Peut-être ne peut-on tout simplement pas faire tomber en se secouant toutes les influences qui ont marqué une enfance. Alain ne le pouvait pas, je ne le pouvais pas non plus. C'est pourquoi, dès le début de nos rapports, la fin était inévitable. Seulement, à ce moment-là, nous ne le savions pas encore. Ou bien nous ne voulions pas en convenir - en tous cas, pas moi.
Nos bibliothèques sont en quelque sorte des pénitenciers où nous avons enfermé nos grands esprits, Kant naturellement dans une cellule individuelle, de même que Nietzsche, de même que Schopenhauer, Pascal, Voltaire, Montaigne, tous les très grands dans des cellules individuelles, les autres dans des cellules collectives, mais tous pour toujours et à jamais, mon cher, pour l'éternité et jusqu'à l'infini, voilà la vérité.
Banques, assurances, gouvernants... ils se tiennent tous la main pour faire fructifier en toute légalité le pognon qu'ils nous piquent. C'est le système, qui est pourri, et quand tu profites du système, c'est du civisme.
Définitivement, j'aime de plus en plus l'aventure. C'est ma façon d'être perpétuellement vivant, attentif, mobilisé à 300 % à l'instar des chasseurs. Ce n'est pas que je les apprécie particulièrement, ils sont là pour tuer, mais ils vivent intensément, avec cette nécessité de demeurer toujours vigilants pour ne pas rentrer bredouilles. Nous sommes tous des chasseurs. Des chasseurs de femmes, de succès, de relations. Des traqueurs de vie aux aguets qui en oublient de songer à eux-mêmes.
Je suis de tradition grecque, comme tous les philosophes ; mais on oublie trop souvent qu'il y a au moins deux traditions, celle de Platon et celle d'Aristote. J'ai longtemps été, en raison de mon intérêt pour les mathématiques, pleinement platonicien. Il m'a fallu un certain âge pour « découvrir » la pensée d'Aristote. Je suis maintenant devenu plutôt aristotélicien… Il suffit de lire les Allemands pour se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes aristotéliciens, pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas eu nos Lumières ni la Révolution française, qui a supprimé chez nous la tradition aristotélicienne pour ne garder que la tradition platonicienne. La tradition aristotélicienne étant associée au Moyen Âge, à la scolastique, au christianisme… D'une certaine manière, Heidegger, c'est du Aristote… Du Aristote traduit en Allemand.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Beaucoup de gens font un lien entre la non-violence et la violence physique alors qu’il existe d’autres formes de violence. Par exemple, les violences que les gens se font à eux-mêmes en se blâmant ou en se critiquant, ce qui entraîne de la dépression. Mais également, la violence infligée par les parents à leurs enfants lorsqu’ils utilisent la culpabilité et la honte afin d’avoir un impact sur eux. Et donc, de cette manière, nous sommes tous impliqués d’une façon ou d’une autre par la violence.
À l'époque la qualité humaine d'un homme, Howard, son caractère, son humour, sa gentillesse comptaient plus que la marchandise qu'il représentait ! On se sentait unis, tous on faisait des affaires entre nous, oui, mais avant tout on se parlait, on s'aimait. Aujourd'hui c'est fini, tout est froid, sec, dur, l'amitié, la confiance, la solidarité, on en veut plus en entendre parler, on en ricane même ! Quant à la personnalité humaine, on s'en fout, on crache dessus et on ne pense qu'à piétiner le copain, qu'à l'enfoncer plus bas que terre !
Il faut avoir la haute main sur ses rêves, a dit Nand. On ne doit pas les laisser prendre le dessus, parce qu'au fond, les rêves sont en nous comme des étrangers. Même quand ils sont animés des meilleures intentions, ils demeurent prêts à tous les sacrifices pour parvenir à leurs fins, et s'il le faut, ils détruiront sans la moindre hésitation l'être qui les porte en lui-même, l'homme qu'ils inspirent et qui les nourrit en son sein. Seul compte l'accomplissement de leur destin. Nous pouvons appartenir à nos rêves, nous pouvons nous abandonner à eux corps et âme, mais jamais un rêve n'a appartenu à personne.
Nous n’avons jamais, jamais, jamais échoué en Amérique lorsque nous avons agi ensemble. Et aujourd’hui, en ce moment et cet endroit, faisons en sorte que de recommencer, tous ensemble. Recommençons à nous écouter, à nous entendre, à nous voir. Faites preuve de respect les uns envers les autres. La politique ne doit pas être un feu qui détruit tout sur son passage.
Écoute, si tu veux, puisque nous nous aimons,
Nous allons tous les deux fuir par delà les monts ;
Nous irons sous le ciel de Grèce, où sont les muses.
Tu verras, toi qu'un rien charme, toi qui t'amuses
Du vol d'un papillon, comment les aigles font
Quand ils planent autour du firmament profond ;Quand Gorbatchev est arrivé au pouvoir, nous étions tous fous de joie. On vivait dans des rêves, des illusions. On vidait nos cœurs dans nos cuisines. On voulait une nouvelle Russie… Au bout de vingt ans, on a enfin compris : d’où aurait-elle pu sortir cette Russie ? Elle n’existait pas, et elle n’existe toujours pas. Quelqu’un a fait remarquer très justement qu’en cinq ans, tout peut changer en Russie et en deux cent ans, rien du tout.
Les enfants sont plus philosophes que nous. Ils trouvent tous seuls les petits plaisirs de la vie. C'est un don que l'on perd en grandissant.
De son point de vue, ces gadgets ne font que réduire l'homme en esclavage. Il suffit de les observer tous, dans les rames, avec leurs visages collés aux écrans. Avant, les voyageurs lisaient des livres. Maintenant ils font exploser les bonbons de couleur, ils mitraillent des cibles ou s'insultent à distance. Et on nous raconte que c'est le progrès.
Une enfance de Jésus (2014) de J. M. Coetzee
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Un cri sous la glace (2017) de Camilla Grebe
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Le Projet Bleiberg (2010) de David S. Khara
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Les Epreuves (1866), Un songe de René François Armand Prudhomme, dit Sully Prudhomme
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Sans référence de Sacha Guitry
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Ardèle ou la Marguerite, Le Comte de Jean Anouilh
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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Discours sur le bonheur (1779) de Émilie Du Châtelet
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Pandemia (2015) de Franck Thilliez
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Le cercle (2012) de Bernard Minier
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Le naufragé (1983) de Thomas Bernhard
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Nigrida (2012) de Mikhaïl Wadimovitch Ramseier
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Le dictionnaire de ma vie (2016) de Claude Lelouch
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Une intensité de lumière, entretien avec Michel Serres , Cahier Simone Weil, Cahier dirigé par Emmanuel Gabellieri et François l'Yvonnet, éd. Éditions de l'Herne, 2014 de Michel Serres
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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La communication non-violente au quotidien (2003) de Marshall Rosenberg
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Mort d'un commis voyageur (1949) de Arthur Miller
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Farrago (2003) de Yann Apperry
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Discours d’investiture devant le Capitole à Washington 20 janvier 2021 de Joe Biden
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La Légende des siècles (1859), l'Amour de Victor Hugo
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La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
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La cerise sur le gâteau de Aurélie Valognes
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L'heure du diable (2020) de Patrick Bauwen
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