Citation on a tous en nous
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème on a tous en nous.
210 citations
Le suicide n'est pas une preuve de courage, mais d'abandon. Des erreurs, des fautes, nous en commettons tous. La force d'un homme ne se mesure pas au nombre de coups qu'il peut donner.
Le droit de supprimer tous ceux qui nous agacent devrait figurer en première place dans la constitution de la Cité idéale.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Je pense que l'existence est une catastrophe en soi, vu que ça finit mal pour nous tous. Telle est, hélas, notre condition humaine. Même si l'on se protège ou qu'on semble heureux, le drame peut frapper à n'importe quel moment. Nul n'y échappe ; c'est précisément cela qui m'intéresse dans le prix que doit payer l'être humain.
Son père lui a dit que si Staline envahissait la Lituanie, nous finirons tous en enfer.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.
Le psaume 90 renferme une invocation qui me revient souvent à l’esprit en ces heures : « Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse. » J’ai toutefois l’impression que le psaume nous suggère une autre attitude : enseigne-nous à bien compter nos jours pour que nous donnions de la valeur à nos jours. A tous, y compris à ceux qui nous apparaissent seulement comme un intervalle pénible.
De nouveau nous conduisions la nuit des automobiles auxquelles il manquait toujours quelque chose pour être en règle. De nouveau nous transportions des substances illicites que nous devions désigner par des noms de code et, même si nous ne travaillions plus à la destruction de la société, nous pouvions persister dans l'illusion réconfortante qu'elle-même n'avait pas renoncé à nous détruire, puisque de nouveau il nous fallait craindre les barrages, éviter les contrôles, et mentir avec aplomb lorsque nous étions obligés de nous y soumettre. De nouveau nous étions unis par des liens de circonstance, à la fois artificiels et forts comme tous ceux qu'engendre l'illégalité. Et par surcroît, ce qui cimentait le groupe et le vouait à l'opprobre de la société procurait du plaisir, un plaisir qui remplissait le corps et l'esprit au point de ne laisser de place pour rien d'autre, un plaisir qui dispensait de tout commerce, y compris de l'usage de la parole : jusque-là, rien n'avait eu la force de me faire taire ainsi, même du dedans.
La seule hygiène de vie qui vaille, c'est l'excès, l'extrême. C'est se consumer avec panache en donnant tout de soi parce que cette Grande Guerre de Civilisation, cette boucherie du Vieux Monde nous tuera tous, sans discernement.
J'ai parlé d'un peu de compassion et de générosité, mais je n'ai pas mentionné l'amour : je ne crois pas en l'amour universel. L'amour de tous pour tous, il faut laisser ça à Jésus : l'amour, c'est autre chose ; il n'a rien à voir avec la générosité et la compassion. Loin de là. L'amour, c'est la curieuse combinaison d'une chose et de son contraire, un mélange d'extrême égoïsme et d'abnégation totale. Un paradoxe ! Tour le monde n'a que ce mot à la bouche, l'amour, mais on ne le choisit pas, il nous attrape, ile nous tient comme une maladie, une tragédie.
En ces heures douloureuses, je pense aux malheureux réfugiés, qui, dans un dénuement extrême, sillonnent nos routes. Je leur exprime ma compassion et ma sollicitude. C'est le coeur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser le combat. Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec nous, entre soldats, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités. Que tous les Français se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie.
J'ai besoin qu'il parle, de savoir qui sont ses complices, ce qu'ils comptent faire de nous, où nous sommes ; j'ai surtout besoin de mesurer notre chance de nous en sortir, d'y croire avec la force du désespoir comme croit au miracle le condamné qui a épuisé tous les recours et qui refuse de renoncer à son combat. Le garçon me paraît accessible. Qui sait ? Il n'est point de criminel totalement réfractaire à l'émotion ; tant qu'il dispose d'un ersatz d'âme, aussi enfoui soit-il dans sa bestialité, il est toujours possible de l'atteindre pourvu que l'on décèle une rainure dans sa cuirasse.
Le Romain, faisant un pli à sa toge : «Nous vous apportons ici la paix ou la guerre; choisissez !» «Choisissez vous-même», lui répond-on. «La guerre !» reprend Fabius en secouant sa toge et tous répondirent qu'ils l'acceptaient.
Histoire romaine, XXI, 18 de Personne ne peut se renier. Peut-être ne peut-on tout simplement pas faire tomber en se secouant toutes les influences qui ont marqué une enfance. Alain ne le pouvait pas, je ne le pouvais pas non plus. C'est pourquoi, dès le début de nos rapports, la fin était inévitable. Seulement, à ce moment-là, nous ne le savions pas encore. Ou bien nous ne voulions pas en convenir - en tous cas, pas moi.
... c'est en habit que je me sens à l'aise. Nous sommes tous devenus des lâches depuis l'invention des pull-overs et des pantoufles. Nous manquons de carcans.
Si nous sommes la plus grande nation qui ait jamais existé sous le soleil, c’est avant tout, semble-t-il, parce que nous avons réussi à susciter cette frénésie du travail chez nos salariés ! Nous possédons bien sûr d’autres raisons de nous glorifier, comme par exemple notre consommation d’alcool qui atteint une valeur annuelle d’un milliard deux cent cinquante millions de dollars et qui double tous les dix ans.
Nous nous trouvons ici, quelques jours à peine après qu’une foule déchaînée a pensé qu’elle pouvait utiliser la violence pour faire taire la volonté du peuple, pour arrêter le cours de notre démocratie et nous chasser de ce sol sacré. Cela ne s’est pas produit, cela n’arrivera jamais, ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais. A tous ceux qui ont soutenu notre campagne, je suis honoré de la foi que vous avez placé en nous. A tous ceux qui ne nous ont pas soutenus, permettez-moi de dire ceci : écoutez-moi lorsque nous avancerons. Prenez la mesure de mon action et de mon coeur.
Dans cette Europe humide et noire, comment alors ne pas recevoir avec un tremblement de regret et de difficile complicité, ce cri du vieux Chateaubriand à Ampère partant en Grèce : « Vous n'aurez retrouvé ni une feuille des oliviers ni un grain des raisins que j'ai vus dans l'Attique. Je regrette jusqu'à l'herbe de mon temps. Je n'ai pas eu la force de faire vivre une bruyère. » Et nous aussi, enfoncés, malgré notre jeune sang, dans la terrible vieillesse de ce dernier siècle, nous regrettons parfois l'herbe de tous les temps, la feuille de l'olivier que nous n'irons plus voir pour elle-même, et les raisins de la liberté.
Si nous avons pu retarder la propagation du virus [ coronavirus ] et limiter les cas sévères, c’est grâce à eux parce que tous ont répondu présents. C’est pourquoi, en votre nom, et avant toute chose, j'aimerais exprimer ce soir la reconnaissance à ces héros en blouse blanche. Ces milliers de femmes et d’hommes admirables qui n’ont d’autre boussole que le soin.
On dit d'un monsieur un peu raide qu'il a avalé sa canne. C'est que la canne est un objet plutôt rigide. Mais nous avons tous avalé notre squelette, et nous n'en sommes que plus adroits.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Pour tous la télé était la mise à disposition immédiate et peu coûteuse de la distraction, pour les épouses la tranquillité de garder leur mari à côté d’elle devant Sport Dimanche. Elle nous entourait d’une constante et impalpable sollicitude, qui flottait sur les visages souriants et unanimement compréhensifs des amateurs (Jacques Martin et Stéphane Collaro), leur mine bonhomme (Bernard Pivot, Alain Decaux). Elle nous unissait de plus en plus dans les mêmes curiosités, peurs et satisfactions, est-ce qu’on allait retrouver l’odieux meurtrier du petit Philippe Bertrand, le baron Empain, attraper Mesrine, est-ce que l’ayatollah Khomeiny regagnerait l’Iran
Le laboureur m'a dit en songe: Fais ton pain, - Je ne te nourris plus, gratte la terre et sème. - ... - Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes - Nul ne peut se vanter de se passer des hommes; - Et depuis ce jour-là, je les ai tous aimés.
La solidarité, l’entraide, voilà la véritable voie. Comprendre que nous sommes fondamentalement liés, et que cette solidarité passe par le respect du vivant, de tous les vivants. Quand on voit comment sont traités les animaux en élevage intensif, c’est franchement dégueulasse. J’admire le combat de Greta Thunberg, j’admire son indignation.
Durant trois ou quatre décennies on en a réclamé, du sexe, du sexe partout et pour tous, proclamé, détaillé, débité comme viande à l'étal, et qu'à présent, nous l'avons - et qu'il nous explose dans les pattes.
Le Projet Bleiberg (2010) de David S. Khara
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Interview Donna Tartt : « On ne connaît jamais personne », Marianne par Clara Kane, le 17/02/2014 de Donna Tartt
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre (2015) de Ruta Sepetys
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Pierre Curie par Marie Curie de Pierre Curie
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Contagions (2020) de Paolo Giordano
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L'Organisation (2000) de Jean Rolin
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Alabama Song (2007) de Gilles Leroy
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Discours du maréchal Pétain le 17 juin 1940 de Philippe Pétain
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Tite-Live
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Le directeur de l'Opéra de Jean Anouilh
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Discours d’investiture devant le Capitole à Washington 20 janvier 2021 de Joe Biden
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Prométhée aux Enfers in L'été, 1946 de Albert Camus
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Allocution d'Emmanuel Macron sur le coronavirus , le 12 mars 2020 de Emmanuel Macron
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Lettre 345 (1946) de Jean Paulhan
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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Les Epreuves (1866), Un songe de René François Armand Prudhomme, dit Sully Prudhomme
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Entretien, numéro 823 de Marie Claire, avril 2021. de Juliette Binoche
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Les parents lâcheurs (2001) de François Taillandier
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