Citation Avant d
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Une Sélection de 440 citations et proverbes sur le thème Avant d.
440 citations
Il n'y a de droit que lorsqu'il y a une loi pour défendre de faire telle chose sous peine de punition. Avant la loi il n'y a de naturel que la force du lion, ou le besoin de l'être qui a faim, qui a froid, le besoin en un mot.
Sur la liste des héros de notre époque, le supergagnant du Loto se situe avant le commandant de bord et le chirurgien-cardiologue.
Un enfant disait, pour parler du temps d'avant sa naissance: «Quand j'étais encore mort."»
Les témoignages recueillis près de mes camarades sortis des autres camps confirment l'impression qui, dès l'abord m'avait frappée à Neuengamme. Le traitement que nous infligeaient les S.S. était la mise en oeuvre d'un plan concerté en haut lieu. Il pouvait comporter des raffinements, des embellissements, des fioritures, dus à l'initiative, aux fantaisies, aux goûts du chef de camp : le sadisme a des nuances. Le dessein général était déterminé. Avant de nous tuer ou de nous faire mourir, il fallait nous avilir. Par une double entreprise, physique et morale. L'intention ne laissait aucun doute. Elle trouvait sa source dans la haine de l'Homme.(...) Les douze mille hommes jetés à Neuengamme de tous les coins de l'Europe se trouvaient confondus, semblables, égaux, une simple chair anonyme ; rien de singulier ne subsistait en eux, sinon, cousue sur leurs loques, l'initiale de leur nation, qui permettait de séparer les compatriotes pour aggraver la solitude.
Les gens considèrent souvent que l’écriture d’un roman commence par une idée alors qu’un roman commence avant tout par une envie : celle d’écrire. Une envie qui vous prend et que rien ne peut empêcher, une envie qui vous détourne de tout. Ce désir perpétuel d’écrire, j’appelle ça la maladie des écrivains. Vous pouvez avoir la meilleure des intrigues de roman, si vous n’avez pas envie de l’écrire, vous n’en ferez rien.
J'ai médité deux secondes sur l'étrange loi des séries qui fait de nos vies une succession de parcs à thème. Un jour, c'est l'aventure exotique ; le lendemain, le jardin zen. On a beau ne pas croire aux astres ni à n'importe laquelle de ces crétineries divinatoires, force est de constater que, avant même qu'on ne se lève (et de quel pied que ce soit), la journée est foutue.
Ne regarde ni en avant ni en arrière, regarde en toi-même, sans peur ni regret. Nul ne descend en soi tant qu'il demeure esclave du passé ou de l'avenir.
Le sentiment ressenti et pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c'est le sursis avant de comprendre l'erreur : l'être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien.
On avait fait comme si je n’étais pas là. Pas responsable. Pas apte. Je n’ai pas aimé. Après coup, j’ai pensé que ce n’était peut-être pas si simple de me parler, de savoir comment regarder une fille comme moi, quand on a ces choses-là à lui dire. Ces choses-là : « Tourner la page », « obtenir réparation », « aller de l’avant ». La pensée magique, on ne pouvait pas y couper, elle était partout.
Quand j'ai refermai la porte de notre chambre. Je ne savais pas que je venais de te voir pour la derniere fois. Avant midi, on parlerait de toi à l'imparfait. Il aimait, il voulait, il travaillait, il craignait. Imparfait : verbe de la mort.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Avant, on passait des heures en famille à classer nos clichés dans de grands albums en carton qui sentaient bon la colle Uhu. On les oubliait au fond d'un placard, puis on les rouvrait lors d'une fête ou d'un anniversaire, un verre à la main, en se remémorant des anecdotes débiles. Aujourd'hui, chacun a la possibilité de faire défiler sa vie entière d'un simple clic, tout seul devant son moniteur. Et on appelle ça le progrès.
Si les feuilles de la vigne - Ne tombent pas avant la Saint-Martin, - L'hiver sera froid.
Sur le fond de mes nuits Dieu de son doigt savant - Dessine un cauchemar multiforme et sans trêve.
Frisant la cinquantaine, armé des apparats de sa célébrité, Jean-Louis Trouë porte néanmoins sa haute taille effilochée comme un habit qu'il aurait emprunté. Sa poitrine penchée vers l'avant, sur le point de verser, il résiste au typhon dans son dos, il tangue plus qu'il ne se tourne vers vous pour vous aborder. Intrusif, une vraie cornemuse, il parle sans respirer, s'exclame, s'étonne, se passionne, se pose la question, y répond d'un seul souffle. C'est un moulin à mots, alerte et guilleret, qui grince dans les hautes pendant qu'il plie sur vous, incertain de vous rejoindre, son visage fripé, grave et bouleversant, où grésillent deux amandes tristes qui vous supplient de l'aimer.
On est heureux par soi-même quand on sait s'y prendre, avoir des goûts simples, un certain courage, une certaine abnégation, l'amour du travail et avant tout une bonne conscience.
Quand un homme ne parle que de ce qu'il sait, il a toujours l'air plus savant que nous.
On a l'air de découvrir que pour gouverner il faut de l'argent et que, quand les Chambres n'en donnent pas suffisamment, on est tout heureux d'en trouver par ses relations personnelles. Ce que j'ai fait, tous les hommes politiques l'on fait avant moi!
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Echafaud: S'arranger quand y monte pour prononcer quelques mots éloquents avant de mourir.
Non, nous ne resterons pas dans l'ignorance au sujet des morts. L'histoire de la photographie a commencé par l'inerte, quand le soleil devait achever la course dans le ciel au-dessus de la propriété de Nicéphore Niépce avant que s'impriment enfin sur une plaque de métal l'étrange image de murs éclairés de tous les côtés à la fois et la silhouette noire d'un arbre fruitier figé dans la lumière.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Pour réaliser tes rêves tu dois vivre ta vie. Réveille-toi avant qu'il ne soit trop tard. Et ainsi, ça commença réellement.
J'appelle éducation positive ce qui tend à former l'esprit avant l'âge, et à donner à l'enfant la connaissance des devoirs de l'homme.
S’il faut rire ou chanter au milieu d’un festin,
Un docteur est alors au bout de son latin :
Un goinfre en a toute la gloire.
Allez, vieux fous, allez apprendre à boire.
On est savant quand on boit bien :
Qui ne sait boire ne sait rien.
Le Rouge et le Noir (1830) de Henri Beyle, dit Stendhal
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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Détails de ce monde (2004) de Jean-Claude Carrière
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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L'Énigme de la Chambre 622 (2020) de Joël Dicker
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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Hell (2002) de Lolita Pille
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Parle tout bas (2021) de Elsa Fottorino
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Le Temps d'un soupir (1963) de Anne Philipe
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Monster (2008) de Patrick Bauwen
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11 novembre de Dictons
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Les Fleurs du Mal (1857), le Gouffre de Charles Baudelaire
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Ev Anckert, une passion parisienne de Louise Auger
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Correspondance, à Charles Poney, 16 novembre 1866 de George Sand
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Journal, 22 juillet 1903 de Jules Renard
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Lors du procès du scandale de Panamá. de Maurice Rouvier
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Dictionnaire des idées reçues (1913) de Gustave Flaubert
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À son image de Jérôme Ferrari
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Daytripper. Au jour le jour (2012) de Gabriel Bá
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Lettre, à Monsieur de Beaumont de Jean-Jacques Rousseau
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Chanson A Boire I, Poésie de Nicolas Boileau de Nicolas Boileau-Despréaux
Références de Nicolas Boileau-Despréaux - Biographie de Nicolas Boileau-Despréaux
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