Citation C est dans les
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Une Sélection de 630 citations et proverbes sur le thème C est dans les.
630 citations
Les oiseaux se nourrissent de nos rêves, et ils les alimentent. Ils n'en savent rien. Un oiseau ne sait rien. C'est à peine s'il se reconnaît dans le miroir des flaques au fond desquelles nos rêves l'attendent, le saisissent par le bec, et le noient.
Eléments d'éléments (1988) de Tout est en règle explique M. Kim avec satisfaction. Comment pourrait-il en être autrement dans ce périple prévu à l'avance, checké chaque matin, cadenassé heure par heure, où nous savons où nous serons ce soir, demain et après-demain à la minute près ? Jamais nous ne serons en promenade, pris par l'aventure, la fantaisie de la découverte, jamais nous ne goûterons au sucré-salé des imprévus et des hasards. Impossible de s'arrêter là, de faire un tour ici, sous les érables, vers ces grottes aux peintures rupestres, d'aller humer ce rivage où cogne la mer de l'Est et ses rouleaux d'écume (trois rangées de barbelés nous en empêchent), non, nous roulons sur des rails invisibles, guidés par des murs transparents, menottés à nos hôtes-geôliers. Même civile, notre estafette est un fourgon policier qui nous transfère de cellule-hôtel en ressort de détention. Pas envisageable de sympathiser avec les matons. Et je dois avoir, en plus de mon nom étranger, un numéro de matricule sur le dos, du genre : I-739. I comme intrus sur le territoire.
Voici ce que Rico Danon, dans Seule la mer, pense du mystérieux homme vivant dans l'Himalaya : L'enfant né d'une femme porte ses parents sur ses épaules. Non, pas sur ses épaules.En lui. toute sa vie, il sera condamné à les porter, eux et les légions de leurs parents, les parents de leurs parents, une poupée russe, grosse jusqu'à la dernière génération. Où qu'il aille, il porte ses parents, il les porte en se couchant, en se levant, s'il vagabonde au loin ou s'il reste en place. Nuit après nuit, il partage son lit avec son père et sa couche avec sa mère jusqu'à ce que son heure arrive. — Ne demandez pas si ce sont des faits réels. Si c'est ce qui se passe dans la vie de l'auteur. Posez-vous la question. sur vous-même. Quant à la réponse, gardez-la pour vous.
Si le lecteur me permet de lui présenter sitôt une image nouvelle, je me servirai, pour montrer la force de l'éducation, du même exemple qu'emploie Aristote pour expliquer sa doctrine des formes substantielles, quand il nous dit qu'une statue est cachée dans un bloc de marbre, et que l'art du statuaire se borne à élaguer la matière superflue, et à la débarrasser d'une enveloppe grossière. La figure est dans le bloc, et le sculpteur ne fait que l'en tirer. L'éducation est à l'âme humaine ce que la sculpture est à un bloc de marbre.
Non, la douleur n'est pas un naufrage. Elle n'engloutit pas, elle déferle, elle frappe. L'espace d'un éclair et se sentir vidée de son sang, le souffle et les jambes coupées, des crocs dans l'estomac, c'est cela la douleur.
Michel-Charles ne tombera jamais dans l'erreur de s'acoquiner avec les libéraux, dont le «socialisme déguisé» est une menace pour les propriétaires.
Les hommes ne contrôlent rien, ne dominent rien, ils sont tous des enfants et même des jouets, mis là pour le plaisir des femmes, un plaisir insatiable et d'autant plus souverain que les hommes croient contrôler les choses, croient dominer les femmes, alors qu'en réalité les femmes les absorbent, ruinent leur domination et dissolvent leur contrôle, pour en fin de compte prendre d'eux bien plus qu'ils ne peuvent donner. Les hommes croient en toute honnêteté que les femmes sont vulnérables, et que cette vulnérabilité, il faut soit en profiter, soit la protéger, tandis que les femmes se rient, avec tolérance et amour ou bien avec mépris, de la vulnérabilité infantile et infinie des hommes, de leur fragilité, cette friabilité si proche de la perte de contrôle permanente, cet effondrement perpétuellement menaçant, cette vacuité incarnée dans une si forte chair. C'est bien pour cela, sans aucun doute, que les femmes tuent si rarement.
J'ai toujours été étonné qu'on laissât les femmes entrer dans les églises. Quelle conversation peuvent-elles avoir avec Dieu? L'éternelle Vénus (caprice, hystérie, fantaisie) est une des formes séduisantes du diable.
On peut tout se permettre avec les gros. Leur faire la morale à la cantine, les insulter s'ils grignotent dans la rue, leur donner des surnoms atroces, se foutre d'eux s'ils font du vélo, les tenir à l'écart, leur donner des conseils de régime, leur dire de se taire s'ils prennent la parole, éclater de rire s'ils avouent qu'ils aimeraient plaire à quelqu'un, les regarder en faisant la grimace quand ils arrivent quelque part. On peut les bousculer, leur pincer le bide ou leur mettre des coups de pied : personne n'interviendra. C'est peut-être à cette époque qu'elle a appris à renoncer à son genre : mâles ou femelles, les gros sont soumis à une exclusion similaire. On a le droit de les mépriser. Et s'ils se plaignent des traitements qu'on leur inflige, au fond tout le monde pense la même chose : mange moins, gros sac, tu pourras t'intégrer.
Les humains ne sont pas des calebasses vides. Les ancêtres sont là. Ils planent au-dessus des corps qui s'enlacent. Ils chantent lorsque les amants crient à l'unissons. Ils attendent sur le seuil de la case où une femme est en travail. Ils sont dans le vagissement, dans le babil des nouveaux-nés. Les enfants grandissent, apprennent les mots de la terre, mais le lien avec les contrées de l'esprit demeure. Les ancêtres sont là, et ils ne sont pas un enferment. Ils ont conçu un monde. Tel est leur legs le plus précieux: l'obligation d'inventer pour survivre.
Sitôt ma “philo” terminée, j'ai eu l'occasion d'une audition. [...] J'ai dû passer une Fable de la Fontaine à un monsieur, c'était pour partir en Allemagne. Vraiment c'est le hasard. Je ne me suis pas réveillé un jour à 14 ans avec 40 de fièvre en me disant 'je vais faire du théâtre'. C'est un peu le hasard, et mon goût plus ou moins inconscient ou subconscient qui m'y a entraîné. Cette audition a été satisfaisante. Grâce aux dieux, comme on dit dans les textes classiques, je n'ai pas pu partir dans cette tournée en Allemagne car les événements qui dirigent les hommes sont intervenus. Et la tournée n'a pas eu lieu car les bombardements étaient tels qu'il n'était plus conscient d'aller faire un tour en Allemagne.
Le Général de Gaulle disait : « Quand nous mourons, nous allons vers la vie. » Je pense que c'est ce qu'a fait Arnaud Beltrame. Il a puisé dans ses valeurs chrétiennes, qui sont aussi des valeurs universelles, pour combattre le terrorisme. Ce n'est pas la fin de la civilisation occidentale, au contraire. Il y a et il y aura des sursauts. Ça doit venir de nous tous, avec nos moyens, certes, mais nous devons former un rempart contre le projet terroriste.
Tout comme le libéralisme économique sans frein, et pour des raisons analogues, le libéralisme sexuel produit des phénomènes de paupérisation absolue. Certains font l'amour tous les jours; d'autres cinq ou six fois dans leur vie, ou jamais. Certains font l'amour avec des dizaines de femmes ; d'autres avec aucune. C'est ce qu'on appelle la « loi du marché ».
Le commerce des hommes avec les femmes ressemble à celui que les européens font dans l'Inde: c'est un commerce guerrier.
Plus je fixe la fille de la photo, plus il me semble que c'est elle qui me regarde. Est-ce qu'elle est moi, cette fille ? Suis-je elle ? Pour que je sois elle, il faudrait que je sois capable de résoudre un problème de physique et une équation du second degré je lise le roman complet inséré dans les pages des Bonnes soirées toutes les semaines je rêve d'aller enfin en « sur-pat » je sois pour le maintien de l'Algérie française je sente les yeux gris de ma mère me suivre partout je n'aie lu ni Beauvoir ni Proust ni Virginia Woolf ni etc. je m'appelle Annie Duchesne.
J'avais amené avec moi des phrases, des bribes d'histoires, des vers de poèmes , que je me récitais comme on fredonne une musique. C'est une habitude que j'ai toujours et qui m'aide à fixer dans ma mémoire les images des paysages ou des visages aperçus : ils se mêlent aux mots tirés de mes lectures et deviennent indélébiles.
La santé c'est une chose. Mais la perte de l'amour, c'est de la gangrène à l'état ras. Un mal pernicieux qui ne se lit pas sur la feuille de température, un truc qui hurle pendant des semaines. Qui se mesure à l'humeur. Parce que dès que vous êtes seul, vous morflez. Dès que vous fermez les paupières, vous repensez à votre histoire d'amour prise dans les glaces.
Peut-être est ce la seule chose qui reste à faire quand on n’a plus si souvenirs ni émotions, retrouver des vestiges, creuser avec ses doigts dans la terre, reconstituer des squelettes, épousseter les fossiles, mais même là, il est probable qu’on ne parvienne jamais à saisir la vie qui les animait, pas même à l’effleurer...
Nous saurons tout de même bien ce qu'ils ont dans leur sac. Aussi marioles qu'ils se croient, ils parlent trop: c'est des grandes gueules.
Dans un milieu où les mobiles sentimentaux tiennent la place essentielle, l'observateur objectif est un asocial, avec tous les risques de cette situation.
Toutes les fois où je me suis retrouvé dans cette situation, (la toile plus grande que le panneau sur lequel elle doit être posée) et Dieu sait si elles ont été nombreuses j'ai toujours décidé d'ôter du ciel , c est toujours moins grave de supprimer des êtres supérieurs que de trancher la tête des pauvres.
L'atmosphère avait changé. Tant de pression et tant de peur. L'heure des aveux. Elle approchait. Les aveux spontanés, les aveux bidon, les aveux véridiques, les aveux fantaisistes, les aveux extorqués... J'avoue parce que ça me soulage du fardeau de ma culpabilité, j'avoue parce que j'en ai marre, parce que je suis trop fatigué, trop impuissant, parce que j'ai une envie irrésistible d'aller pisser, j'avoue parce que ce sale type, là, n'arrête pas de me souffler son haleine infecte à la figure, j'avoue parce qu'il me rend cinglé, avec ses hurlements, et parce qu'il me fait peur, j'avoue parce que c'est ce qu'ils veulent tous, dans le fond, et parce que je vais finir par faire une crise cardiaque, un infarctus du myocarde, une hypoglycémie, une insuffisance rénale, une épilepsie..
L’avenir… il devait être magnifique… il allait être magnifique, plus tard … j’y croyais ! On y croyait à une vie magnifique ! C’était une utopie … Vous, vous avez votre utopie à vous. Le marché. Le paradis du marché. Le marché va rendre tout le monde heureux… C’est une chimère ! Des gangsters se baladent dans les rues en veston rouge avec des chaines en or sur le ventre. C’est la caricature du capitalisme, comme sur les dessins du Crocodile, le journal humoristique soviétique. Une parodie ! Au lieu d’une dictature du prolétariat, vous avez la loi de la jungle : dévore les plus faibles que toi, et rampe devant ceux qui sont forts. La plus vieille loi du monde.
La poésie est une pomme et c'est toujours septembre sur les vergers de la parole: soleil serré, suc de la terre, saveur d'enfance. Dans le bonheur des mots amour, je te mange.
La principale difficulté avec les femmes honnêtes n'est pas de les séduire, c'est de les amener dans un endroit clos. Leur vertu est faite de portes entr'ouvertes.
Pierre Peuchmaurd
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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The Spectator (1711) de Joseph Addison
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Oublier Palerme (1996) de Edmonde Charles-Roux
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Archives du Nord (1977) de Marguerite Yourcenar
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Journaux intimes (1887), Mon coeur mis à nu de Charles Baudelaire
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Vernon Subutex (2015) de Virginie Despentes
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La saison de l'ombre (2013) de Léonora Miano
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Invité dès 1962 dans l’émission Les Premiers Pas, sur les ondes de la RTF de Jean Piat
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Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
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Extension du domaine de la lutte (1994) de Michel Houellebecq
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Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795) de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
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Mémoire de fille de Annie Ernaux
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Le premier été (2011) de Anne Percin
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Gipsy Blues (2014) de Jean Vautrin
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Summer (2017) de Monica Sabolo
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Les Belles Manières de François Carcopino-Tusoli, dit Francis Carco
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Le pouvoir et l'opinion (1949) de Alfred Sauvy
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Concours pour le paradis de Clélia Renucci
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Le cercle (2012) de Bernard Minier
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La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
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La Maison du poète (1999) de Jean Joubert
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Amphitryon 38 (1929), I, 1, Jupiter de Jean Giraudoux
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