Citation C est moi qui
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Une Sélection de 170 citations et proverbes sur le thème C est moi qui.
170 citations
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
Aaujourd'hui, c'est la Terre qui est menacée. Ce n'est pas seulement le monde animal et végétal. C'est nous-mêmes, avec les pollutions, l'agriculture industrialisée. Nous avons mille menaces avec des conflits, les fanatismes, les refermetures sur soi. Il y a des causes absolument magnifiques pour les jeunes, la défense de la Terre, la défense de l'humanité, c'est-à-dire l'humanisme. On voit bien aussi bien la petite Greta Thunberg que d'autres jeunes, qu'ils sentent ceci. Moi, je pense que nous avons besoin, toujours, de nous mobiliser pour une chose commune, pour une communauté. On ne peut pas se réaliser en étant enfermé dans son propre égoïsme, dans sa propre carrière. On doit aussi participer à l'humanité et c'est une des raisons, je crois, qui m'a maintenu alerte jusqu'à mon âge.
Il y a des périodes où l'inspiration coule avec vivacité et originalité dans les neurones. C'est ainsi qu'à chaque automne un vent mauvais emporte pour moi les merveilleuses feuilles rousses et mordorées qui tombent en tourbillonnant sur le sol ...
Le football est, pour moi, plus qu’un sport, il suffit de voir l’impact qu’il a sur la société. Les gens viennent au stade pour oublier leur vie pendant quatre-vingt-dix minutes, et c’est à nous de se charger de leur donner satisfaction ; de les faire se lever de leur chaise pour qu’ils s’endorment avec des étoiles plein les yeux. Plus jeune, il y a des joueurs qui m’ont donné du plaisir, et maintenant, je suis dans ce rôle-là.
Jamais, dans mes frustrations, tout ce qui fait de moi un homme n'interpella avec plus de rageuse et vaine sauvagerie ce qu'à défaut de mot plus ignoble nous appelons le destin : cette bataille perdu qu'il ne nous est même pas permis de livrer.
Le début de mon engagement féministe est attaché sans doute à mes relations avec mon père, des relations difficiles, comme souvent, sans aller chercher Freud qui par ailleurs a dit beaucoup de bêtises sur les femmes. Mon père était très autoritaire et passablement machiste. Mais je me suis engagée, peut-être aussi à cause de lui, dans le féminisme et dans le socialisme. Ces deux combats sont chez moi indissociables, complémentaires. Ce sens de la révolte contre tout ce qui me paraît injuste m’a toujours habitée, a joué un rôle important dans mon itinéraire politique.
Quand j'écris, j'ai toute la langue française avec moi dans l'oreille. Simplement, j'essaie d'être au plus près de la parole. On ne prononce pas tout, dans la parole, ni toutes les lettres, ni toutes les syllabes. C'est une affaire très minutieuse, pas du tout sauvage, qui prend en compte toute la langue, son histoire, ses confins, les autres langues avec lesquelles elle a été en contact, ses diverses accentuations.
Je hais, je fuis ces gens qui font les délicats,
Dont la fière grandeur d'un rien se formalise,
Et qui craint qu'avec elle on ne familiarise;
Et ma maxime, à moi, c'est qu'entre bons amis,
Certains petits écarts doivent être permis.Mes chers compatriotes, c'est avec beaucoup d'émotion que je m'adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n'avez cessé d'habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n'ai cessé d'agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j'aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d'envie d'agir. Cette France qui, croyez-moi, n'a pas fini d'étonner le monde. Vive la République ! Vive la France !
Le principal est d’essayer d’être heureux tous les jours et de rendre heureux ceux qui vivent avec moi.
Pour moi les femmes sont des jihadistes comme les autres. Pour celles qui sont parties et restées, il n'y a aucune forme de circonstance atténuante. Est-ce qu'une femme ne peut pas tenir une arme? Est-ce qu'une femme ne peut pas avoir des idées radicales et extrêmes? Je crois que, pour certaines, elles ont été le moteur de la radicalisation. C'est d'autant plus inquiétant qu'elle est une mère, une soeur et une femme donc potentiellement elle peut propager davantage cette idéologie.
Il y eut un instant où le coeur sembla s'arrêter. Mon cerveau était embrumé. Point de pensée autre que le coeur qui s'était arrêté. Ne tombe point, Moi ! Avec toi s'écroulerait le monde, et c'est par toi que vit Beethoven !
Faites comme moi, épousez un archéologue. C'est le seul homme qui vous regardera avec de plus en plus d'intérêt à mesure que passeront les années.
L'angoisse est pour moi attachée à ce qui est fixe, à l'habitation, aux fondations, aux meubles. La révolution aussi, non violente, que j'espère alors, je la ressens comme incompatible avec la fixation des peuples et des individus sur le sol où ils sont nés.
De même que les indiens de certaines tribus voisines traçaient dans l'air un cercle invisible pour se protéger de l'inconnu, mon corps est comme enveloppé de la peau de ces années qui ne laissent plus rien passer de l'extérieur. Seul ce qui y ressemble est accepté. Le moment présent n'a d'autre fondement que sa parenté avec le passé. Avec moi, mes Indiens ne se sont pas trompés : je n'ai, à part ce scintillement confus, rien à raconter. En plus, comme je leur dois la vie, il est juste que je paie ma dette en revivant, jour après jour, leur vie à eux.
Je suis pour l'intolérance parfaite et j'estime que qui n'est pas avec moi est contre moi.
J'avais fini par me déprendre de moi, mes pensées procédaient de l'eau qui m'entourait, elles en étaient l'émanation, elles en avaient l'évidence et la fluidité, elles s'écoulaient au gré du temps qui passe et coulaient sans objet dans l'ivresse de leur simple écoulement, la grandeur de leur cours, comme des pulsations sanguines inconscientes, rythmées, douces et régulières, et je pensais, mais c'est déjà trop dire, non, je ne pensais pas, je faisais maintenant corps avec l'infini des pensées, j'étais moi-même le mouvement de la pensée, j'étais le cours du temps.
J'ai compris ce que voulait dire souffrir. Je veux être là pour celui qui aura besoin de moi. Pour celui qui est grand, blanc, noir ou rouge, je serai là.
La vie en communauté, l'amour collectif, c'est bien joli, mais j'aimerais un peu d'exclusivité. Or à Liberty House, l'amour est diffus et indifférencié : chacun en a sa part et tous l'ont tout entier — ce qui me convient mieux en théorie qu'en pratique. Depuis mon arrivée ici, je partage tout avec tous : les douches, les repas, les corvées ménagères, les soirées au coin du feu, ou les salutations au soleil. Même mes parents ont cessé de m'appartenir, et je les surprends parfois à poser sur moi un regard perplexe, comme s'ils avaient complètement oublié mon existence, absorbés qu'ils sont par la leur.
Un homme était en deuil, de la tête aux pieds: grandes pleureuses, perruque noire, figure allongée. Un de ses amis l'aborde tristement: - «Eh! bon Dieu! qui est-ce donc que vous avez perdu? - - Moi, dit-il, je n'ai rien perdu: c'est que je suis veuf.»
Nous sommes la voisine sans histoires du deuxième étage au fond du couloir, celle dont la poubelle est toujours rentrée, qui vous sourit chaleureusement dans l’escalier et que l’on n’entend jamais derrière sa porte close. Dans nos vies muettes de désespoir, nous sommes cette Femme d’En Haut, avec ou sans foutu chat tigré ou fichu labrador qui court partout, et personne ne s’aperçoit que nous sommes furieuses. Nous sommes complètement invisibles. Je ne voulais pas le croire, ou je croyais que ça ne s’appliquait pas à moi, mais j’ai découvert que je n’étais pas différente des autres. L’enjeu est maintenant de savoir quelle stratégie adopter, que faire de cette invisibilité, comment la rendre incandescente.
L'amour fusionnel, qui est souvent le seul que connaissent les couples, est plus gratifiant, plus rassurant. Il dit : Tu existes par rapport à moi, et j'existe en relation avec toi, et c'est merveilleux ! L'amitié libératrice souffle de son côté : Tu existes indépendamment de moi et j'existe en dehors de toi, c'est cela qui est merveilleux ! Je n'ai pas peur de te perdre, tu ne redoutes pas que je m'échappe, car nous nous voyons, nous nous aimons en toute gratuité.
Dans le Languedoc, ils m'appellent Provençal. Mais c'est moi qui m'suis gouré en disant mon nom. Sinon, en Bretagne, c'est le Gros Faisan au sud, et au nord, c'est juste Ducon.
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Grand entretien, France Info, le 08 juillet 2021 de Edgar Morin
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Le Hasard sonne toujours une fois (2006) de Denis Langlois
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Entretien Le Monde, Propos recueillis par Mustapha Kessous, 13 juillet 2018 de Kylian Mbappé
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Chien blanc (1970) de Romain Gary
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Yvette Roudy, les femmes sont une force, Entretien avec Delphine Gardey, Jacqueline Laufer (2002) de Yvette Roudy
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Interview pour Télérama 3138 - Propos recueillis par Nathalie Crom le 05/03/2010. de Pierre Guyotat
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Le Glorieux (1732) de Philippe Néricault, dit Destouches
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Déclaration du chef de l'Etat communiqué par l'Elysée, 11 mars 2007. de Jacques Chirac
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Sur le plateau du 20H de TF1 , avril 2021 de Bernard Tapie
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Le Grand Oral de Sonia Mabrouk - Les Grandes Gueules RMC - 15/05/2018 de Sonia Mabrouk
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Journal (1957) de Paul Klee
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Sans référence de Agatha Christie
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Coma de Pierre Guyotat
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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Le mendiant ingrat (1892-1895) de Léon Bloy
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Faire l'amour (2002) de Jean-Philippe Toussaint
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Radio France Internationale, 7 juillet 2008. de Ingrid Betancourt
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Sans référence de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
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La Femme d'En Haut (2013) de Claire Messud
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Aimer d'amitié (1992) de Jacqueline Kelen
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Kaamelott : Livre III (2010) de Alexandre Astier
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